Je recherche de l'aide pour réaliser un commentaire de texte sur le récit d'Ulysse à Clytemnestre dans la scène 6 acte 5 du livre Iphigénie de Jean Racine.
J'ai déjà un "début" détaillé :

Introduction :
Thème abordé est la représentation de la mort et du sacrifice du personnage d'Eriphile à travers le récit d'Ulysse dans cette dernière scène.
Résumer de cette dernière scène : Ulysse vient compter à Clytemnestre comment sa fille Iphigénie est belle et bien vivante. Ce passage marque un tournant dans l'intrigue, alors que le sacrifice imminent d'Iphigénie est interrompu par Achille son prétendant qui la défend. Cependant, la situation évolue de manière inattendue, puisque c'est finalement Eriphile jalouse et qu’apprend de même lignée que la princesse Iphigénie, qui se poignarde à la place de cette dernière.
Annonce d'une problématique : le passage qui nous intéresse est précisément la tirade d'Ulysse à Clytemnestre. Comment ce dénouement final est conforme à l'esthétique classique de l'époque (concept cher à l'auteur Racine) mais tout aussi spectaculaire ?
Plan est un développement en 2 parties.

1) Un récit saisissant d'Ulysse

- paragraphe 1 : un combat épique
Importance du contexte (sacrifice imminent d'Iphigénie ordonné par son père pour avoir la clémence des Dieux / Achille qui prend sa défense corps et âme ; sacrifice qui n'aura finalement pas lieu puisque c'est Eriphile qui se poignarde à sa place).
Ambiance du décore (terreur...)

- paragraphe 2 : une mise en abyme du discours
L’éloquence d'Ulysse dans son récit à Clytemnestre (les figures de style utilisées, la rhétorique, le vocabulaire employé, le rythme, l'intérêt de l'utilisation des vers en alexandrins et rimes suivies dans la tirade…).

2) Une fin étonnante :

- paragraphe 1 : le respect de l'esthétique classique
Respecter les codes du classicisme dans le contexte et dans le discours d'Ulysse.

- paragraphe 2 : une nouvelle héroïne tragique :
Eriphile s'inscrire pleinement dans les personnages de tragédie classique : une héroïne complexe et tragique. De plus, par son geste, elle vole presque la vedette à Iphigénie ; dilemme des sentiments : on a pitié du personnage mais en même temps soulagé par son sacrifice. Elle s’estime assez « sacrée » pour se châtier elle-même, mais d'une autre coté, les « fureurs » d’Ériphile sont à ce point extrêmes qu’elles engendrent l’« horreur », comme une annonce de la cruauté de la guerre de Troie.

Conclusion.

Aidez moi à le réaliser svp merci !