Je m'entraîne pour l'évaluation 13 Le lièvre et la tortue Enoncé «Rien ne sert de courir; il faut partir à point» est une maxime tirée de la fable «Le lièvre et la tortue » de Jean de la Fontaine (1621 - 1695). Après avoir fait la sieste sous un arbre à 40,0 m de la ligne d'arrivée, le lièvre se réveille et aperçoit la tortue qui le précède d'une distance d = 39,4 m. Elle file vers le succès dans cette ligne droite avec une vitesse de valeur constante v = 0,2 m/s. tortue Le lièvre se met alors à courir en accélérant jusqu'à atteindre une vitesse de valeur v = 18,0 m/s et il s'y livre maintient. Questions 1. Caractériser le mouvement et la vitesse a. Comment qualifie-t-on le mouvement de la tortue? b. Identifiez et nommez les deux phases du mouvement du lièvre. c. Donnez les trois caractéristiques de la vitesse de la tortue. 2. Utiliser la formule de la vitesse a. Combien de temps faut-il à la tortue pour atteindre la ligne d'arrivée ? b. Quelle distance maximale d parcourrait le lièvre pendant cette durée, à sa vitesse maximale? lièvre Arrivée 0,60 m 40 m 2,5 cm Départ 3. Manipuler une formule mathématique On peut calculer la distance qui sépare le lièvre de l'arbre avec l'équation suivante lors de la phase d'accéleration: = 4,5 xt². lièvre a. À quelle distance de l'arbre le lièvre se trouve-t-il à la fin de cette première phase en considérant qu'elle ne dure que 2 secondes? b. Montrez alors qu'il a perdu la course. 4. Calculer une vitesse Une coccinelle, qui s'était endormie au bout de l'aiguille du chronomètre, fut entraînée dans son mouvement. a. Décrivez la trajectoire de la coccinelle. b. Calculez sa vitesse en cm/s, puis en m/s. c. Tracez la flèche vitesse de la coccinelle en choisissant une échelle adaptée. Chapitre 6 La vitesse 109​