Laurent crut avoir
hallucination >>
Lecture analytique de l'extrait, p. 168, L 249, à p. 170, L 302
Иие
As le meurtre de Camille, le roman bascule dans une seconde
e encore plus sombre et sans doute plus originale: le huis clos
en plus et Zola dissèque, chez ses personnages,
reme de plus
decaquement» nerveux. conséquence du crime. Il ne s'agit pas
place de un simple désordre organique, (...) une rébellion du sys-
a crise morale ni de remords, mais, comme l'auteur le dit dans sa
me nerveux tendu à se rompre ». Le spectre de Camille commence à
Anter les deux amants et les pousse au mariage, malgré l'extinction
leur passion pour « häter le moment où ils pourraient s'unir contre
(p. 140). Vaici donc la nuit de noces des deux meurtriers qui
ase transformer, contrairement à ce qu'ils espéraient, en nuit d'hor-
eur. Cette scène d'hallucination permet d'observer le talent de Zola,
tantastique du portrait vivant pour analyser, avec une extrême finesse,
ant à la fois du naturalisme et du surnaturel et utilisant le thème
mécanisme psychique et physique de l'obsession morbide.
Un récit naturaliste

Quels éléments donnent de la précision à ce passage ?

Quel est le point de vue dominant dans ce texte et quel est
reffet produit ?.