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Bonjour j’ai un devoir à rendre en français mais je n’y arrive pas pouvez vous m’aidez svp . Il faut faire une explication linéaire sous forme de note de ce paragraphe : « Pourtant, il s'efforçait de se calmer, il aurait vouli comprendre. Qu'avait-il donc de pitterent, lorsqui s comparait aux autres? Là-bas, a Plassans, dans sa jeu nesse, souvent déjà il s'était questionne. Sa mère Ger. vaise, il est vrai, l'avait eu très jeune, à quinze ans a demi , mais il n'arrivait que le second, elle entrait à peine dans sa quatorzième année, lorsqu'elle était accouchée du premier, Claude; et aucun de ses deux freres, ni Claude, ni Étienne, né plus tard, ne semblait souffrir d'une mère si enfant et d'un père gamin comme elle, ce beau Lantier, dont le mauvais cœur devait coûter à Gervaise tant de larmes '. Peut-être aussi ses frères avaient-ils chacun son mal qu'ils n'avouaient pas, l'aine surtout qui se devorait a vouloir etre peintre, si rageusement, qu'on le disait a moitié fou de son génie?. La famille n'était guère d'aplomb, beaucoup avaient une fêlure3. Lui, à certaines heures, la sentait bien, cette fêlure héréditaire; non pas qu'il fût d'une santé mauvaise, car l'appréhension et la honte de ses crises l'avaient seules maigri autrefois; mais c'étaient, dans son être, de subites pertes d'équilibre, comme des cassures, des trous par lesquels son moi lu échappait, au milieu d'une sorte de grande fumée qui déformait tout. Il ne s'appartenait plus, il obéissait à ses muscles, à la bête enragée. Pourtant, il ne buvait pas, il se refusait même un petit verre d'eau-de-vie, ayant remarqué que que la moindre goutte d’alcool le rendait fou. Et il en venait à penser qu’il payait pour les autres, les pères, les grands-pères, qui avait bu, les générations d’ivrognes dont il était le sang gâté, un lent empoisonnement, une sauvagerie qui le ramenait avec les loups mangeurs de femmes, au fond des bois. »

Sagot :