👤

FRstudy.me fournit une plateforme conviviale pour partager et obtenir des connaissances. Que vos questions soient simples ou complexes, notre communauté a les réponses dont vous avez besoin.

bonjour tout le monde,
excusez moi de vous déranger mais voilà j'ai un gros problème pour faire ma rédaction,
alors il faut imagine la suite de cette histoire en 40 lignes qui faut mettre au passé.
Je vais vous mettre le texte en dessous.
Elle s'appelle ''Alter ego''.
Il faut imaginer ce que Lionnel va faire a son clone.

Le jour de ses quinze ans, Lionel fut invité à s’asseoir dans le magnifique fauteuil en ronce de zamier habituellement dévolu aux clients du cabinet Bernaudet. Il se demanda si son père allait également lui proposer un cigare, mais ce dernier se contenta de déclarer d’un ton solennel :

Lionel, tu atteins aujourd’hui l’âge de la majorité légale… Il est temps pour toi de connaître le secret des Bernaudet !…
Un secret ? Super !
Ne m’interromps pas, quand je parle ! Un secret, disais-je, dont je suis certain que tu feras le meilleur usage ! Ainsi que ton grand-père et moi-même l’avons fait avant toi…
Pas de problème, p’pa.
Maître Bernaudet jeta un regard oblique à son fils et soupira longuement avant de poursuivre :

Tel que tu me vois, je devrais être mort plusieurs fois !
Comment cela ?
Tu te souviens de mon accident de chasse ?
Comment ne pas s’en souvenir ! à chaque repas de famille, le notaire ressassait l’histoire dans ses moindres détails : la manière dont le fusil s’était enrayé, le buffle qui fonçait sur lui les naseaux écumants, son réveil dans un lit d’hôpital…

J’ai survécu, en plus, à un virus rarissime et à un grave problème cardiaque ! Et sais-tu pourquoi, mon garçon ?
Parce que tu as eu de quoi te payer de bons médecins.
Pas seulement, Lionel, pas seulement ! J’ai survécu parce que j’avais en réserve les organes qu’il fallait !
Comment ça : « en réserve » ?
Maître Bernaudet toussota.

Lionel… Tu as déjà entendu parler des clones, je suppose ?
L’an dernier, en cours d’éducation civique. Il est rigoureusement interdit d’en posséder ou d’en élever !
D’accord, d’accord… Ce n’est pas tout à fait légal… Mais tu préfèrerais peut-être que je sois mort pour respecter la loi ?
A une telle question, on ne peut répondre que : « Non, bien sûr ! » Ce que fit Lionel.

Si nous n’avions pas chacun nos clones, Lionel, ta maman ne paraîtrait pas aussi jeune et ton oncle Frédéric n’aurait survécu ni à la bouteille, ni à tous ses accidents d’auto ! Tu es d’accord que ça vaut bien une ou deux petites entorses à la loi, non ?…
Lionel en convint. Son père lui révéla que dès sa naissance, un Lionel-bis avait été élevé parallèlement à lui dans un laboratoire discret, prêt à fournir organes et tissus compatibles au moindre pépin. En cas de nécessité, un ou plusieurs autres clones pouvaient également être développés en croissance accélérée, à partir des cellules souche de Lionel, conservées dans l’azote liquide.

Tu te doutes bien que tout cela me coûte – c’est le cas de le dire -, la peau des fesses ! conclut son père. Mais peut-on imaginer meilleur investissement ?

Lionel fut choqué d’apprendre que son père profitait de sa fortune pour tourner la loi. Il fut surtout troublé par le fait qu’il existait, quelque part, dans un mystérieux laboratoire, un autre lui-même.

Ce clone, c’est moi ? finit-il par demander à son père.
C’est une copie conforme de toi. Mais ce n’est pas toi, évidemment.
A quoi on voit la différence ?
On ne la voit pas. Mais tu es toi, Lionel Bernaudet, lui, ce n’est qu’un clone. Une réserve de pièces de rechange, si tu préfères.
Une réserve vivante.
Evidemment, vivante.
Mais alors ce clone, il pense ?
Ce que tu peux être fatigant avec tes questions ! explosa maître Bernaudet. Qu’il pense ou non, ça change quoi ? Tout ce qu’on lui demande c’est d’être en parfaite santé !

Dès lors, Lionel n’eut de cesse de rencontrer son clone. Son père s’y opposa. On courait le risque de s’attacher à ce faux jumeau, ce qui compliquait la situation le jour où l’on avait besoin d’organes frais.

Alors il ne fallait pas m’en parler ! s’indigna Lionel.
Je te pensais assez mûr pour comprendre la chance exceptionnelle qui est la tienne !
La maturité n’empêche pas la curiosité.

*

Ils prirent la route un matin de bonne heure, en direction de l’est. Après une heure d’autoroute, maître Bernaudet coupa le pilote automatique de la voiture et le GPS, par précaution.

Mémorise bien l’itinéraire, dit-il à son fils. Si un jour tu devais revenir sans moi…
Qu’est-ce que tu risques, p’pa ? Avec ton clone !
Je ne suis pas immortel pour autant, Lionel.


voilà bonne chances et je remercies gracieusement ce qui vont essayer de la faire,merci bien.



Sagot :

Lionel et son père s'avancèrent vers le laboratoire, le fameux laboratoire dans lequel se trouvait le double du jeune homme. Ce dernier était à la fois excité et déstabilisé à l'idée de se voir en un deuxième exemplaire. Ils se trouvaient à présent devant la porte. Mr Bernaudet dit à son fils:
"Tu es bien sûr de vouloir entrer ?"
"Oui papa, je suis prêt."
C'est plein de doutes et d'appréhension que Lionel poussa la porte et pénétra à l'intérieur de la pièce.
"Wahouuu" s'exclama le jeune homme.
En plein milieu de la salle se trouvait un lit, avec un drap blanche sous laquelle on pouvait distinguer la forme d'un corps. Autour pleins de machines, des boutons et des couleurs partout.
"Papa ?" demanda Lionel.
"Oui ?" lui répondit son père
"Chaque personne de la famille possède un clone ?"
"Non mon fils, seulement quelques unes, je te demanderai donc de n'en parler à personne, ni même à tes cousins."
"Oui papa. Chaque clone se trouve dans une salle différente" ?
"C'est exact, tu es dans la première puisque tu as été le dernier clone crée, vu que tu es le plus jeune."
Lionel visitait la chambre de son clone. Il s'arrêta devant le lit, et souleva délicatement le drap. C'était réellement le même. Son deuxième lui se réveilla.
Lionel lui adressa quelques mots "Salut, bien dormi ?"
Son clone paraissait surpris mais lui répondit "Bonjour, oui oui très bien, merci."
Sa voix était légèrement robotisée, mais il fallait vraiment faire très attention pour s'en rendre compte.
Lionel demanda à son père "Papa, on peut amener mon clone à la maison pendant quelques jours ?"
Maître Bernaudet hésita pendant de longues secondes, et finit par accepter. Lionel, son clone, et son papa repartirent donc en direction de leur maison.

Voilà, c'est pas top et il faut que t'imagine la suite, désolée mais je dois me remettre à mon histoire aha, bon courage ;)