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Sagot :
Je ne sais pas si ça peut t'aider mais j'ai fait un texte cette année, qui expliquait pourquoi cette nouvelle était fantastique. En éspérant que ça t'aide, courage pour ta rédaction (souviens toi que :
Afin qu’un récit soit qualifié de fantastique, il faut qu’il se situe dans un cadre spatio-temporel réel, et qu’un phénomène surnaturel soit introduit. Le doute doit planer jusqu’au bout du texte, qui peut ne pas avoir de dénouement et donc susciter l'intérêt du lecteur. L'événement surnaturel peut donc avoir une explication rationnelle ou non. Le personnage et le lecteur doivent ressentir de l’angoisse, de la peur. Ces sentiments sont souvent provoqués par des descriptions étranges, mettant le lecteur mal à l’aise.)
• Le portrait ovale :
Le portrait ovale est une nouvelle fantastique écrite par Edgar Allan Poe en 1842, puis traduite en français par Baudelaire. Le récit se déroule dans un cadre réel où toutefois certains éléments créent une ambiance légèrement lugubre (un château abandonné, beaucoup de tableaux aux murs, une “riche décoration”…).L'évènement surnaturel de cette nouvelle est introduit plus tardivement puisque le narrateur s'attarde sur la découverte de la peinture en décrivant toutes ses sensations et actions : “je vis que”, “je fermais les yeux”, “préparer mon esprit” …Le personnage découvre la peinture d’une jeune femme qu’il contemple longuement (“une contemplation plus froide et plus sûre”, “je restai {...} une heure entière peut-être, les yeux rivés à ce portrait”), après avoir tout d’abord été frappé par le tableau, par le réalisme de la peinture (“m’avait fait tressaillir, et finalement m'avait confondu, subjugué, épouvanté”).Il trouve ensuite le livre analysant les tableaux, et y découvre que le modèle, épouse du peintre, s’est affaiblie lors des séances de peinture et est décédée à l‘instant même de la dernière touche (“les couleurs qu’il étalait sur la toile étaient tirées des joues de celle qui était assise près de lui”). Le récit indique donc que plus la peinture avançait et devenait réaliste plus la femme s’éteignait, comme si il y avait un lien entre la personne réelle et sa représentation, entre l’image et l’âme d’une personne.C’est un thème souvent abordé en littérature ou au cinéma. La nouvelle est bien fantastique puisque même à la toute fin, le lecteur ne sait pas si toute cette histoire est réelle. Le personnage principal a très bien pu être victime de son imagination puisqu’il est dans un état second : blessé, fatigué. Cela se déroule la nuit, période du sommeil où rêves et cauchemars sont en action.Le texte se finit sur la mort de la femme qui aurait par amour donné sa vie.
Afin qu’un récit soit qualifié de fantastique, il faut qu’il se situe dans un cadre spatio-temporel réel, et qu’un phénomène surnaturel soit introduit. Le doute doit planer jusqu’au bout du texte, qui peut ne pas avoir de dénouement et donc susciter l'intérêt du lecteur. L'événement surnaturel peut donc avoir une explication rationnelle ou non. Le personnage et le lecteur doivent ressentir de l’angoisse, de la peur. Ces sentiments sont souvent provoqués par des descriptions étranges, mettant le lecteur mal à l’aise.)
• Le portrait ovale :
Le portrait ovale est une nouvelle fantastique écrite par Edgar Allan Poe en 1842, puis traduite en français par Baudelaire. Le récit se déroule dans un cadre réel où toutefois certains éléments créent une ambiance légèrement lugubre (un château abandonné, beaucoup de tableaux aux murs, une “riche décoration”…).L'évènement surnaturel de cette nouvelle est introduit plus tardivement puisque le narrateur s'attarde sur la découverte de la peinture en décrivant toutes ses sensations et actions : “je vis que”, “je fermais les yeux”, “préparer mon esprit” …Le personnage découvre la peinture d’une jeune femme qu’il contemple longuement (“une contemplation plus froide et plus sûre”, “je restai {...} une heure entière peut-être, les yeux rivés à ce portrait”), après avoir tout d’abord été frappé par le tableau, par le réalisme de la peinture (“m’avait fait tressaillir, et finalement m'avait confondu, subjugué, épouvanté”).Il trouve ensuite le livre analysant les tableaux, et y découvre que le modèle, épouse du peintre, s’est affaiblie lors des séances de peinture et est décédée à l‘instant même de la dernière touche (“les couleurs qu’il étalait sur la toile étaient tirées des joues de celle qui était assise près de lui”). Le récit indique donc que plus la peinture avançait et devenait réaliste plus la femme s’éteignait, comme si il y avait un lien entre la personne réelle et sa représentation, entre l’image et l’âme d’une personne.C’est un thème souvent abordé en littérature ou au cinéma. La nouvelle est bien fantastique puisque même à la toute fin, le lecteur ne sait pas si toute cette histoire est réelle. Le personnage principal a très bien pu être victime de son imagination puisqu’il est dans un état second : blessé, fatigué. Cela se déroule la nuit, période du sommeil où rêves et cauchemars sont en action.Le texte se finit sur la mort de la femme qui aurait par amour donné sa vie.
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