bonjour pouvez vous m'aider a trouver les figue de style s'il vous plait
dans le poeme que j'ai fait si c'est bien ça les figures de style et si il
y en a que je n'ai pas vue et les jeux sur les sons si il y en a mais je ne
pense pas meme si j'ai essaye de mettre des liquide et des sons lumineux au
debut et des sons plus lourd a la fin

J’étais sûre que nous raconterions notre histoire un jour.Comment nous nous sommes rencontrés.L’eau était bleu clair,L’océan t’a emmené jusqu’à moi synecdoque pour designer les vaguesTout autour de nous était roseLes papillons se m’étaient à voler, quand on se croisaitInstantanément il y a eu la flammeLes gens disaient les chanceux,Cet amour brillait dans l’obscurité antitheseTa main, tes bras, tes caresses, tes baisers enumerationJ’étais sur un petit nuageJ’ai pensé que ma place était près de toiCet amour était le rêve parfaitTu disais que c’était pour toujours.Je voulais te garder, près de moiOh! Une petite complication arrive apostropheBaiser, magie, paradis, péché énumérationDes murs sont apparus que je ne peux franchirMais maintenant, je te chercheParce que dernièrement je ne sais pas sur quel page tu esT’as commis des fautes, la page c’est déchiréeOn ne se parle plus, un fossé s’est creuséDes malentendus qui amènent à la chute.A présent je suis debout seuleDans cette pièce videLes courants t’ont emportéJe me demande comment on a pu en arriver làRegarde comment je tire nerveusement mes vêtementsQue j’essaye d’avoir l’air occupéeQue je te regarde avec une étoile au coin de l’œilJe meurs d’envie de savoir si cela te tue comme cela me tue ?Quand j'essaie de t'oublier, je ne fais que me souvenirTournant et me retournant toute la nuitTu hantes ma tête, mon esprit se perd quand il pense à toiJ’entends ta voix je me retourne mais tu n’es pas làJe te dirais que tu me manques mais je ne sais pas commentJe ne sais pas quoi dire depuis que tu es partiChut ! Chut ! Tu n’entends pas ce silence assourdissant apostropheTellement de choses que je voudrais que tu saches anaphoreTellement de questionsMais je ne me demande pas pourquoiJe voudrais te crier que tu me manquesMais mon silence m’abonde parallelismeLes deux genoux à terre pléonasme ci il y a les c'est forcement les deux genouxJe dépose les armes, laissant sur mes joues couler mes larmes.

merci à vous