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Sagot :
Un jour je découvris une statue en creusant un trou pour mes recherches ; et je trouvai cette statue merveilleuse.
Celle-ci était magnifique, avec un corps voluptueux, des contours dessinés avec beaucoup d’élégance. Elle était vêtue d’une draperie qui lui couvrait la partie inférieure du corps. Un morceau de sa draperie était enroulé autour de son bras gauche, sa main droite était levée et elle tenait quelque chose de rond. Ses traits du visage étaient élégants, avec des yeux baissés vers le bas, la bouche fermée, sans sourire ; on voyait à peine ses yeux.
Cette statue, était une divine incarnation de la beauté, une femme plus belle que la nature, que le monde. Ses cheveux bouclés, étaient comme une pelote de laine soyeuse. Son corps représentait une véritable œuvre d’art, sa draperie était blanche comme la neige ; son visage par contre me donnait un frisson de peur, sa bouche fermée donnait un sentiment d’inquiétude. Ses yeux qu’on voyait à peine me rendaient nerveux.
Enfin, j’arrêtai de la décrire pour pouvoir continuer mes recherches archéologiques : ayant pris beaucoup de retard avec cette statue, je voulais le rattraper.
Celle-ci était magnifique, avec un corps voluptueux, des contours dessinés avec beaucoup d’élégance. Elle était vêtue d’une draperie qui lui couvrait la partie inférieure du corps. Un morceau de sa draperie était enroulé autour de son bras gauche, sa main droite était levée et elle tenait quelque chose de rond. Ses traits du visage étaient élégants, avec des yeux baissés vers le bas, la bouche fermée, sans sourire ; on voyait à peine ses yeux.
Cette statue, était une divine incarnation de la beauté, une femme plus belle que la nature, que le monde. Ses cheveux bouclés, étaient comme une pelote de laine soyeuse. Son corps représentait une véritable œuvre d’art, sa draperie était blanche comme la neige ; son visage par contre me donnait un frisson de peur, sa bouche fermée donnait un sentiment d’inquiétude. Ses yeux qu’on voyait à peine me rendaient nerveux.
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