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Et voilà que le petit commerce disparait, se dit Denise, le cœur en peine. En observant la boutique de son oncle, ce lieu si sombre, encore plus depuis la mort de son propriétaire, où tous se remplissait de poussière et se salissait, Denise eu les larmes aux yeux. L'insigne de de la boutique, effacer à l’usure du temps, on estimait maintenant ce magasin comme un lieu sans vie, sans sens… Voir ce lieu lugubre : était repoussant du petit commerce, aux yeux de tous.

Moi, je suis en vie aujourd’hui, respecté, traitresse de mon oncle alors qu’auparavant je souffrais dans ces mêmes galeries seulement pour me nourrir moi et mes frères, tandis que lui nous logeait. Insultée par beaucoup des employées je m’étais faite, apeurée a l’idée du licenciement j’avais été, des souffrances physiques j’avais endurées, si bien que mes pieds s’en étaient enflés mais je n’avais pas bronchée, je m’était battue pour résister, pour m’améliorer, pour garder mon travaille, j’avais encaissée ! Ça m’a valu mon ascension au Bonheur Dames. En grosse partie, j’avais participé involontairement a la
défaite du Vieil Elbeuf, étant donné que je participais à la réussite du Bonheur Des Dames. J’avais fait couler mon oncle par opportunité, si bien que je ne me le pardonnerais sans doute jamais.

Je ne sais si je devrais être heureuse ou triste. Je ne manque plus de rien financièrement, je dépense sans compter, Au Bonheur des Dames ne fait qu’augmenter son chiffre et les clientes sont heureuse quand elles sortent du magasin. Seulement, quand je vois les nouvelles recrues, j’ai une très grande pitié
pour elle… Finalement je ne devrais pas m'attrister pour mon bonheur, mais à quoi ceci me réjouis alors que d’autre en font leurs malheurs ?

Paris, la ville, le succès, le monde, l’argent, m’a changé. Je restais là, debout, en regardant Le Vieil Elbeuf, comme si je portais hommage au commerce disparu, sous l'ampleur de la machine et à ma chère cousine, Geneviève.


Sagot :

MNT
Bonjour,
Et voilà que le petit commerce disparait, se dit Denise, le cœur en peine. En observant la boutique de son oncle, ce lieu si sombre, encore plus depuis la mort de son propriétaire, où tout se remplissait de poussière et se salissait, Denise eut les larmes aux yeux. L'insigne de la boutique, effacée par l’usure du temps, on estimait maintenant ce magasin comme un lieu sans vie, sans sens… Voir ce lieu lugubre était repoussant du petit commerce, aux yeux de tous.

Moi, je suis en vie aujourd’hui, respectée, traitresse de mon oncle alors qu’auparavant je souffrais dans ces mêmes galeries seulement pour me nourrir moi et mes frères, tandis que lui nous logeait. Insultée par beaucoup des employées je m’étais faite, apeurée à l’idée du licenciement j’avais été, des souffrances physiques j’avais endurées, si bien que mes pieds s’en étaient enflés mais je n’avais pas bronchée, je m’était battue pour résister, pour m’améliorer, pour garder mon travail, j’avais encaissé ! Ça m’a valu mon ascension au Bonheur Dames. En grosse partie, j’avais participé involontairement à la défaite du Vieil Elbeuf, étant donné que je participais à la réussite du Bonheur Des Dames. J’avais fait couler mon oncle par opportunité, si bien que je ne me le pardonnerai sans doute jamais.

Je ne sais si je devais être heureuse ou triste. Je ne manque plus de rien financièrement, je dépense sans compter; Au Bonheur des Dames ne fait qu’augmenter son chiffre et les clientes sont heureuses quand elles sortent du magasin. Seulement, quand je vois les nouvelles recrues, j’ai une très grande pitié pour elles… Finalement je ne devrais pas m'attrister pour mon bonheur, mais à quoi ceci me réjouit alors que d’autres en font leurs malheurs ?

Paris, la ville, le succès, le monde, l’argent, m’a changé. Je restais là, debout, en regardant Le Vieil Elbeuf, comme si je portais hommage au commerce disparu, sous l'ampleur de la machine et à ma chère cousine, Geneviève.