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Sagot :
bonjour,
Je suis une femme, et non un punching ball, j'aitais une femme heureuse, gaie, libre, ma couleur préférée le bleu. Comme le ciel, les eaux turquoises, mes yeux, et la couleur de mes coups, je n'ai plus de vie sociale, il m'a coupé de mon travail, dépression pour que personne ne sache. Je n'arrivais pas à me lever le matin, mon corps me fait mal, il me fait passer pour une menteuse auprès des enfants, il m'offrait mm des fleurs à chaques coups portés, et ses mots si humiliants, je ne serai plus rien ni personne, chaque coup est une partie de ma vie en moins, je voudrai être morte pour ne plus supporter, sans parler de ces viols, à qui en parler. J'ai peur de la porte qui claque, du ton qui monte, de ces gestes de ces mots, la douleur fait partie de ma vie, aidez moi, comprenez moi, ne me jugez pas, je suis une femme comme tant d'autre qui attend qu'un jour il ne soit fatal. Je voudrai le tuer, que tout le monde le sache qu'il soit puni de ses années de mensonges de douleur de cruauté, il est tout sauf un homme il est seulement un dédale de dégout. Si ma lettre a pu démontrer mon enfer et mes espèrances je me battrai pour mes enfants et moi, pour trouver ma dignité ma vie de femme. Une VIE tout court
Bien à vous Cordialement,
Si j'ai pu t'aider à plus et bon courage
Je suis une femme, et non un punching ball, j'aitais une femme heureuse, gaie, libre, ma couleur préférée le bleu. Comme le ciel, les eaux turquoises, mes yeux, et la couleur de mes coups, je n'ai plus de vie sociale, il m'a coupé de mon travail, dépression pour que personne ne sache. Je n'arrivais pas à me lever le matin, mon corps me fait mal, il me fait passer pour une menteuse auprès des enfants, il m'offrait mm des fleurs à chaques coups portés, et ses mots si humiliants, je ne serai plus rien ni personne, chaque coup est une partie de ma vie en moins, je voudrai être morte pour ne plus supporter, sans parler de ces viols, à qui en parler. J'ai peur de la porte qui claque, du ton qui monte, de ces gestes de ces mots, la douleur fait partie de ma vie, aidez moi, comprenez moi, ne me jugez pas, je suis une femme comme tant d'autre qui attend qu'un jour il ne soit fatal. Je voudrai le tuer, que tout le monde le sache qu'il soit puni de ses années de mensonges de douleur de cruauté, il est tout sauf un homme il est seulement un dédale de dégout. Si ma lettre a pu démontrer mon enfer et mes espèrances je me battrai pour mes enfants et moi, pour trouver ma dignité ma vie de femme. Une VIE tout court
Bien à vous Cordialement,
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