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Sagot :
Le week-end dernier comme il faisait beau, je décidais d'aller me promener et proposais à mon frère de venir avec moi. Il refusa de m'accompagner prétextant des devoirs à faire:
Bien qu'un peu déçu, je me mis aussitôt en route. Je coupais à travers champs pour me rendre plus vite dans les bois qui se trouvaient non loins et que je n'avais pas encore eu le temps d'explorer.
Il n'y avait pas 100 mètres que je suivais le chemin qui y pénétrait que l'atmosphère joyeuse et bruyante de cette chaude journée de printemps disparut: un sentiment étrange et étouffant me saisit, m'obligeant à m'arrêter et j'eus soudain la chair de poule, ce que j'attribuais d'abord à la pénombre et à la chute de la température causées par l'épaisse végétation qui m'entouraient . Haussant les épaules, je me remis en marche et c'est alors que j'entendis derrière moi un craquement suivi d'un bruit étrange : saisi, je me figeais sur place puis, tout doucement me retournais . Il n'y avait rien, juste une légère brise qui faisait bouger les fines branches des arbres.
Je repris bientôt ma promenade, en me moquant de mon imagination, mais en écoutant malgré tout avec une nouvelle attention les bruit de la forêt qui m'entourait. A peine pensais-je avoir rêvé que je l'entendais de nouveau: plus net , plus près. C'était sûr, je n'étais pas seul, quelque chose était tapit là, dans l'ombre, me suivant et m'épiant. Une folle envie de me prendre mes jambes à mon cou m'étreignit mais la certitude que que je n'étais pas seul me tétanisa: je ne pouvais plus bouger, mes pieds étaient comme enracinés, mes jambes étaient lourdes et tremblaient, une sueur froide se mit à couler le long de mon dos ajoutant à l'angoisse qui m'étreignait.
Je ne bougeais plus, écoutais chaque bruit, épiais chaque ombre et sursautais au moindre mouvement que je croyais saisir du coin de l’œil quand soudain je le vis , il était là, me regardant la tête baissée, à peine à 2 mètres: il était magnifique, ses grands bois se confondant avec la végétation. Nous nous fixâmes pendant un temps qui me sembla infini et soudain il se retourna ,s'enfuit et bientôt disparut , comme avalé par la forêt.
Bien qu'un peu déçu, je me mis aussitôt en route. Je coupais à travers champs pour me rendre plus vite dans les bois qui se trouvaient non loins et que je n'avais pas encore eu le temps d'explorer.
Il n'y avait pas 100 mètres que je suivais le chemin qui y pénétrait que l'atmosphère joyeuse et bruyante de cette chaude journée de printemps disparut: un sentiment étrange et étouffant me saisit, m'obligeant à m'arrêter et j'eus soudain la chair de poule, ce que j'attribuais d'abord à la pénombre et à la chute de la température causées par l'épaisse végétation qui m'entouraient . Haussant les épaules, je me remis en marche et c'est alors que j'entendis derrière moi un craquement suivi d'un bruit étrange : saisi, je me figeais sur place puis, tout doucement me retournais . Il n'y avait rien, juste une légère brise qui faisait bouger les fines branches des arbres.
Je repris bientôt ma promenade, en me moquant de mon imagination, mais en écoutant malgré tout avec une nouvelle attention les bruit de la forêt qui m'entourait. A peine pensais-je avoir rêvé que je l'entendais de nouveau: plus net , plus près. C'était sûr, je n'étais pas seul, quelque chose était tapit là, dans l'ombre, me suivant et m'épiant. Une folle envie de me prendre mes jambes à mon cou m'étreignit mais la certitude que que je n'étais pas seul me tétanisa: je ne pouvais plus bouger, mes pieds étaient comme enracinés, mes jambes étaient lourdes et tremblaient, une sueur froide se mit à couler le long de mon dos ajoutant à l'angoisse qui m'étreignait.
Je ne bougeais plus, écoutais chaque bruit, épiais chaque ombre et sursautais au moindre mouvement que je croyais saisir du coin de l’œil quand soudain je le vis , il était là, me regardant la tête baissée, à peine à 2 mètres: il était magnifique, ses grands bois se confondant avec la végétation. Nous nous fixâmes pendant un temps qui me sembla infini et soudain il se retourna ,s'enfuit et bientôt disparut , comme avalé par la forêt.
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