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Sagot :
Une amie à moi à écrit un court texte fantastique. Je te le met, et tu pourra t'en inspirés. Par contre il y a beaucoup de fautes d’orthographes, et il n'est pas complet, je te laisse chercher la fin x)
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-Chérie, nous partons ! Cria ma mère du bas des escaliers.
Je sortis de ma chambre et me précipita dans le couloir, valise à la main, en me demandant si je n’avais rien oublié. Les grandes vacances avaient commencé il y a à peine deux jours, et nous voilà déjà entrain de quitter la ville, direction la campagne ! Je me réjouissais de ce voyage, car d’habitude je ne partais pas pendant les vacances. Mais cette fois ci, c’était spécial : Nous avions pour mission de garder la jolie petite maisonnette d’une amie, dans un charmant village campagnard. La ou j’habitais, il faisait toujours gris, et il n’y avait pas le moindre brin d’herbe à des kilomètres et des kilomètres. Alors partir en campagne, c’était parfait, ou presque. Car il y avait huit longues heures de routes, avant d’arrivé à destination. Heureusement, j’avais tout prévus : Chips, sodas, musique, oreiller ! J’avais hâte de partir.
Je chargeais ma valise dans le coffre désormais plein, puis je m’installai confortablement sur le siège arrière. Etant fille unique, j’avais toute la place pour moi ! J’essayais de tendre mes jambes au maximum, pour pouvoir essayé de dormir un peu, écouteurs dans les oreilles. Après une trentaine de minutes, je sombrai dans un profond sommeil.
Je fus réveillée en sursaut par un gros bruit sonore, et par des hurlements. J’étais allongé sur la route, mes parents à quelques mètres de moi. J’essayais de me mettre debout-ou du moins m’assoir-mais c’était impossible. Une épouvantable douleur vint frapper mes tempes, ce qui m’obligeait à rester couché. Je passai le revers de ma main sur mon front ; celle-ci était à présent partiellement recouverte de sang. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, et la panique montait en moi. Déjà, où étais-je ? Que m’était-il arrivé ? Il faisait nuit noire, et aucunes étoiles ne brillait dans le ciel. Un courant d’aire glacé vint caresser mon visage frêle. J’avais mal partout, je voulais que ça s’arrête. Soudainement, une main se posa sur mon bras. J’entendis une voix s’élever au loin, une voix masculine, qui chuchotait « elle va bien ». Et tout à coup, je m’endormis à nouveau.
J’ouvris les yeux, la pièce dans laquelle je me trouvais était inondé d’une aveuglante lumière. Tout était blanc. Petit à petit, les formes et les couleurs se dessinèrent, et la lumière laissa place à l’intérieur d’un petit salon. Je gémis, aussitôt ma mère accourra pour me prendre dans ses bras.
-Maman, où… Où on est ?
-Ne t’inquiète pas, nous sommes chez un gentil monsieur. Ton papa a fait un petit accident, mais tout va bien, d’accord ?
Et elle partit, sans rien me dire d’autre. J’en profitai pour observer la pièce dans laquelle je me trouvais : Une large commode, sur laquelle était disposée une vielle télévision des années 70 et d’autre bibelots était positionner juste en face du vieux canapé sur lequel je me trouvais, enroulée dans une couverture polaire, bien au chaud. Je fis pivoter mon regard, et mes yeux se posèrent sur une très, très vielle cheminée. Le son du bois qui crépitait m’apaisait, mais il y avait une chose que je ne comprenais pas : Nous étions en plein mois de juin, alors pourquoi étais-je enroulé dans une couverture à côté d’une cheminée ?
Intriguée, j’entrepris d’aller jeter un coup d’œil dehors. Il me fallut plusieurs minutes avant de réussir à me mettre debout. Mes jambes tremblotaient, et ma tête tournait. Je me dirigeai d’un pas incertain vers la porte en bois. Alors que je saisis la poignée, je me rendis compte qu’elle ne tournait pas ; c’était fermé à clef… Je me concentrai, et regarda au tour de moi : La clef devait certainement se trouver quelque part. Je me dirigeai d’abord vers la commode, et ouvrit silencieusement les tiroirs en bois qui y était encastrer. Rien, mis à part une étrange collection de photo morbide : Des jeunes femmes et des jeunes hommes, souriant, qui se trouvait dans une forêt. Parfois, les photos représentaient des enfants, ou des familles toute entières. Je refermai les tiroirs, et me dirigea vers la cheminée. Différent bibelots y était accommodé, ainsi qu’une vielle station radio. Ici non plus, pas de clef. Je reculai un peu pour avoir une vue d’ensemble sur la cheminée. D’ici, je pouvais voir des crochets fixés au mur, sur lesquels étaient suspendus plusieurs choses : Torchon, vielle décoration, et… Des clefs !
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