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Sagot :
Bonjour,
Que relie le poète à la forêt ?
1) L éloge de la forêt :
La description de la forêt est à la fois entre le réel et le merveilleux. D’abord la forêt apparaît comme un lieu réel à travers les caractéristiques données comme "tes ombrages verts", "ta belle verdure", "tes bois", "tes bocages" et "ton bois". Mais cette description apparaît aussi comme une continuation du monde irréel.
Le poète montre que la forêt comme est un lieu habité par des créatures mythiques comme "de Satyres et de Sylvains" ou encore "des Naïades", des créatures belles et séduisantes. Toutes ces demi-divinités qui sont toutes liées à la nature, se comportent comme les hommes et sont joyeux. Puis on a les "muses" ce sont des divinités qui possèdent l’ensemble des connaissances sur les arts et la science, c’est donc un lieu de culte et d’inspiration.
Le poète introduit cette forêt comme un lieu où il n’ya pas une séparation entre le monde réel et merveilleux. C’est un lieu idéal où on trouve le merveilleux et la raison, ce qui nous conduit à une certaine sacralité pour Ronsard.
2) Relation poète - Forêt :
A travers ces divinités, on comprend que la forêt est sacrée pour le poète. Tout d’abord, dans la mythologie grecque le poète est sacré. Le poète évoque beaucoup de sentiments pour ce lieu. C’est un lieu d’inspiration "Les muses". Il se sent protégé parce que la forêt est un lieu fermé mais aussi ouvert car c’est un lieu de culte lié également aux arts.
L auteur se détache du monde "lorsqu’en toi je me perds bien loin". Donc on peut constater que le poète privilégie sa relation avec la forêt qui est personnifiée et féminisée, d’où se crée un rapport entre une mère et son fils. La forêt est aussi mise en valeur à travers une description tout au long du poème.
A cela s’ajoute l’apostrophe "Toi qui" où le poète s’adresse directement à cette forêt qui est une chose et non pas un être vivant. C est une relation personnelle entre l auteur et la forêt.
Ronsard exprime sa gratitude "celer, je ne puis", "de combien obligé je suis", il a le devoir de lui rendre grasse, de parler du fait que la forêt lui a rapporté du bien, c’est une dette morale. Il rend honneur aussi à cette forêt "je te chante" et la glorifie à travers la mythologie.
Le poète souhaite que la forêt garde son coté pure "ton bois ne sente jamais la flamme sacrilège", sa divinité, qu’elle soit toujours habitée par des créatures mythiques "tes bocages soient toujours pleins d’amoureuses brigades".
Dans ce poème, le poète nous fait part des sentiments qu’ils évoquent pour la forêt de Gastine, en poussant le lecteur à l’admirer et en la glorifiant à travers les mythes et les légendes pour lui donner une forme de sacralité.
Que relie le poète à la forêt ?
1) L éloge de la forêt :
La description de la forêt est à la fois entre le réel et le merveilleux. D’abord la forêt apparaît comme un lieu réel à travers les caractéristiques données comme "tes ombrages verts", "ta belle verdure", "tes bois", "tes bocages" et "ton bois". Mais cette description apparaît aussi comme une continuation du monde irréel.
Le poète montre que la forêt comme est un lieu habité par des créatures mythiques comme "de Satyres et de Sylvains" ou encore "des Naïades", des créatures belles et séduisantes. Toutes ces demi-divinités qui sont toutes liées à la nature, se comportent comme les hommes et sont joyeux. Puis on a les "muses" ce sont des divinités qui possèdent l’ensemble des connaissances sur les arts et la science, c’est donc un lieu de culte et d’inspiration.
Le poète introduit cette forêt comme un lieu où il n’ya pas une séparation entre le monde réel et merveilleux. C’est un lieu idéal où on trouve le merveilleux et la raison, ce qui nous conduit à une certaine sacralité pour Ronsard.
2) Relation poète - Forêt :
A travers ces divinités, on comprend que la forêt est sacrée pour le poète. Tout d’abord, dans la mythologie grecque le poète est sacré. Le poète évoque beaucoup de sentiments pour ce lieu. C’est un lieu d’inspiration "Les muses". Il se sent protégé parce que la forêt est un lieu fermé mais aussi ouvert car c’est un lieu de culte lié également aux arts.
L auteur se détache du monde "lorsqu’en toi je me perds bien loin". Donc on peut constater que le poète privilégie sa relation avec la forêt qui est personnifiée et féminisée, d’où se crée un rapport entre une mère et son fils. La forêt est aussi mise en valeur à travers une description tout au long du poème.
A cela s’ajoute l’apostrophe "Toi qui" où le poète s’adresse directement à cette forêt qui est une chose et non pas un être vivant. C est une relation personnelle entre l auteur et la forêt.
Ronsard exprime sa gratitude "celer, je ne puis", "de combien obligé je suis", il a le devoir de lui rendre grasse, de parler du fait que la forêt lui a rapporté du bien, c’est une dette morale. Il rend honneur aussi à cette forêt "je te chante" et la glorifie à travers la mythologie.
Le poète souhaite que la forêt garde son coté pure "ton bois ne sente jamais la flamme sacrilège", sa divinité, qu’elle soit toujours habitée par des créatures mythiques "tes bocages soient toujours pleins d’amoureuses brigades".
Dans ce poème, le poète nous fait part des sentiments qu’ils évoquent pour la forêt de Gastine, en poussant le lecteur à l’admirer et en la glorifiant à travers les mythes et les légendes pour lui donner une forme de sacralité.
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