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Sagot :
Bonsoir,
1) a & b. Le temps verbal le plus utilisé des lignes 1 à26 est l'imparfait, dont la valeur est ici celle de la description au passé.
c. Il s'agit de la situation initiale (présentation du cadre, du lieu et des personnages), qui prend fin à l'arrivée des d'Hubières, l'élément perturbateur annoncé par le passé simple (ligne 27).
2) a & b. C'est l'adjectif numéral cardinal "deux". c. Effet produit : une grande similarité entre les deux familles, présentées comme très proches, quasiment jumelées et indivisibles.
3) Trois reprises nominales : la marmaille (l.4), leurs produits (l.8), leurs mioches (l.17). Des termes insultants, très péjoratifs.
4) a. Pâtée : bouillie pour les animaux (chats, chiens, oies...), ce qui déshumanise les enfants, assimilés à des bêtes. b. "Comme des gardeurs d'oies assemblent leurs bêtes", l.17 et 18, ou bien "La mère empâtait elle-même le petit", l.23.
5) On : pronom personnel indéfini. Il désigne les parents.
6) En fait, la description vaut aussi bien pour les Tuvache que pour les Vallin, qui sont interchangeables parce que leur mode de vie est identique.
7) Pauvreté : "besognaient dur sur la terre inféconde", "Tout cela vivait péniblement de soupe, de pommes de terre et de grand air"... comme si on pouvait se nourrir d'air. "Un peu de viande au pot-au-feu", le dimanche : de la viande une seule fois par semaine, le reste du temps c'est du pain molli dans l'eau, des pommes de terre, un demi chou et trois oignons.
8) a & b. Il s'agit du passé simple. Il est employé pour signaler un fait précis dans le passé, ponctuel, qui rompt avec l'ordinaire. Cela correspond donc à l'élément perturbateur dans le récit. c. Par un après-midi du mois d'août.
9) Grouiller : verbe employé pour les animaux nuisibles, en particulier les rats et les cafards, ou écœurants comme les vers. Le verbe déshumanise les enfants, assimilés à des nuisibles.
10) Saleté visible surtout avec le petit aux joues sales (l.39), et aux cheveux "pommadés de terre". La jeune femme est admirative et déborde de tendresse, comme pour des chatons ou des petits chiots : "Oh ! Comme je voudrais en avoir un, celui-là, le tout petit !". La saleté ne la rebute pas du tout, au contraire elle la fait déborder de compassion : "Sont-ils jolis, comme ça, à grouiller dans la poussière !"
11) La jeune femme est en manque affectif d'enfant, du fait que son mari est stérile (l. 32 & 33), puisqu'il perçoit les exclamations admiratives de sa femme comme des reproches.
Réécriture : Et, sautant de leur(s) voiture(s), elles coururent - prirent - dans leurs bras - elles le baisèrent - puis elles remontèrent dans leur(s) voiture(s) et partirent... Le reste du texte est inchangé.
1) a & b. Le temps verbal le plus utilisé des lignes 1 à26 est l'imparfait, dont la valeur est ici celle de la description au passé.
c. Il s'agit de la situation initiale (présentation du cadre, du lieu et des personnages), qui prend fin à l'arrivée des d'Hubières, l'élément perturbateur annoncé par le passé simple (ligne 27).
2) a & b. C'est l'adjectif numéral cardinal "deux". c. Effet produit : une grande similarité entre les deux familles, présentées comme très proches, quasiment jumelées et indivisibles.
3) Trois reprises nominales : la marmaille (l.4), leurs produits (l.8), leurs mioches (l.17). Des termes insultants, très péjoratifs.
4) a. Pâtée : bouillie pour les animaux (chats, chiens, oies...), ce qui déshumanise les enfants, assimilés à des bêtes. b. "Comme des gardeurs d'oies assemblent leurs bêtes", l.17 et 18, ou bien "La mère empâtait elle-même le petit", l.23.
5) On : pronom personnel indéfini. Il désigne les parents.
6) En fait, la description vaut aussi bien pour les Tuvache que pour les Vallin, qui sont interchangeables parce que leur mode de vie est identique.
7) Pauvreté : "besognaient dur sur la terre inféconde", "Tout cela vivait péniblement de soupe, de pommes de terre et de grand air"... comme si on pouvait se nourrir d'air. "Un peu de viande au pot-au-feu", le dimanche : de la viande une seule fois par semaine, le reste du temps c'est du pain molli dans l'eau, des pommes de terre, un demi chou et trois oignons.
8) a & b. Il s'agit du passé simple. Il est employé pour signaler un fait précis dans le passé, ponctuel, qui rompt avec l'ordinaire. Cela correspond donc à l'élément perturbateur dans le récit. c. Par un après-midi du mois d'août.
9) Grouiller : verbe employé pour les animaux nuisibles, en particulier les rats et les cafards, ou écœurants comme les vers. Le verbe déshumanise les enfants, assimilés à des nuisibles.
10) Saleté visible surtout avec le petit aux joues sales (l.39), et aux cheveux "pommadés de terre". La jeune femme est admirative et déborde de tendresse, comme pour des chatons ou des petits chiots : "Oh ! Comme je voudrais en avoir un, celui-là, le tout petit !". La saleté ne la rebute pas du tout, au contraire elle la fait déborder de compassion : "Sont-ils jolis, comme ça, à grouiller dans la poussière !"
11) La jeune femme est en manque affectif d'enfant, du fait que son mari est stérile (l. 32 & 33), puisqu'il perçoit les exclamations admiratives de sa femme comme des reproches.
Réécriture : Et, sautant de leur(s) voiture(s), elles coururent - prirent - dans leurs bras - elles le baisèrent - puis elles remontèrent dans leur(s) voiture(s) et partirent... Le reste du texte est inchangé.
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