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rédaction 1ère guerre mondiale
Bonsoir pourriez-vous corriger ma rédaction et me dire ce que vous en pensez.
merci d'avance Quentin en 3ème
Cette histoire est racontée par Sullivan, le parrain de Margot sur ce qu’il a vécu pendant la première Guerre Mondiale.
Dis moi tonton, tu es revenu de la guerre depuis un petit bout de temps maintenant, peux-tu me raconter ce qu’il s’est passé ?
Eh bien tu vois Margot, cette cicatrice sur ma jambe, c’est un souvenir de guerre. J’étais avec mon meilleur ami Stitch sur le front, j’avais à l’époque 21 ans, cela remonte donc à bien longtemps déjà.
Lors d’une bataille, j’ai pris des éclats d’obus sur ma jambe, elle a été entaillée et là j’étais bien content que mon ami Stitch soit présent pour m’emmener au campement me faire soigner par une munitionnette.
C’est quoi tonton une munitionnette ?
C’est une femme infirmière qui va soigner les soldats qui sont sur le front.
Tu sais ma nièce, cette guerre a été la plus longue et la pire étape de ma vie. Des soldats innocents allaient sur les champs de bataille combattre les adversaires et mourraient sans que je puisse les aidés. J’avais la peur au ventre, j’avais peur de me faire attaquer et de me faire tuer. Tu sais, c’est dur de se retrouver dans les tranchées en entendant les émeutes autour de moi, des explosions d’obus, de tirs de balles et les cris des soldats me faisaient froid dans le dos. J’étais fou.
Dis-moi tonton, as-tu tué des gens ??
Oui Margot, malheureusement pour me défendre, je n’avais pas toujours le choix. C’est difficile d’ôter la vie à quelqu’un mais c’était la seule façon de survivre soi-même. Par contre, dieu sait que je le regrette, tu sais la guerre n’est pas une bonne chose mais parfois, nous n’avons pas le choix.
Je ressens toujours de la tristesse et beaucoup de peine pour tous les combattants qui ont perdu la vie sur le front, C’est très dur de voir le sang qui s’écoule comme une rivière. Certains de mes amis se sont faits exécutés devant moi sans que je puisse intervenir.
Mon meilleur ami Stitch, et bien lui, lors d’un autre combat, il a été tué par un Allemand. Au moment où il s’est levé, je lui disais : « Stitch, baisses toi, couches toi sinon tu vas te faire tuer mais malheureusement, je n’avais pas eu le temps de finir ma phrase que le sang coulait le long de son visage. Je criais Stitch, Stitch, il ne me répondait pas. Et là, j’ai compris qu’il était mort. » A ce moment là, je me suis écroulé comme une grosse masse par terre, j’ai perdu connaissance quelques instants.
Jour après jour, nuit après nuit c’était toujours le même refrain, on entendait sans cesse les mêmes bruits, les cris, les tirs
Tu sais ma nièce, le seul moment de réconfort que nous avions était lorsque nous recevions des lettres de nos proches, de la famille. Je pouvais répondre à ta tante Delphine, mais je devais faire très attention à ce que je lui écrivais car nos lettres étaient lues avant d’être envoyées et si ce que j’écrivais ne convenait pas à mes supérieurs ma lettre était déchirée.
Et dis-moi, pourquoi les femmes n’allaient pas au combat ?
En effet, les femmes ne faisaient pas la guerre mais elle la subissait, elles restaient chez elles avec leurs enfants, travaillaient dans les champs et dans les usines pour pouvoir survivre.
Tout ça pour dire, ma nièce, que je ne souhaite à personne de vivre ce que j’ai vécu comme mes camarades de front. La guerre, c’est tellement dur qu’elle ne doit plus exister.
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