Je suis arrivé à Verdun le 9 mars 1916 et me voilà en première ligne pour défendre notre belle patrie. Aujourd'hui le 9 novembre 1916, cela fait huit mois que je survis dans les tranchées boueuses dont le sol est jonché de corps en décomposition, la vie au front dans les tranchées est très rude. Nous sommes tous pâles, maigre, poilus et sales. J'ai attrapé une grippe qui m'obligea à me blottir sur une banquette de tir durant une semaine. La Mort Est Omniprésent dans la Tranchée avec les débris de corps que nous assemblons, nous formons des Remparts. On ne nous nourrit pas, ils nous arrivent De passer plusieurs jours sans manger. Pour boire, nous devons filtrer l'eau des gerbes de terre et détérant des corps en décomposition. Demain, en première ligne, nous serons face aux Boches. Les Boches nous mettent tous au difficulté avec leurs armes chimiques, des liquides enflammes, des gaz asphyxiant et des abus sifflants. Les soldats qui partent à l'assaut savent qu'ils ne reviendront jamais, si par miracle ils ne sont pas tués, ou ils sont bien amoché(blesser). J'espère revenir avec la victoire. Vive la FRANCE!!!!
