M.Dupont, homme d'une soixantaine d'années, voyage sans cesse pour lutter contre la violence. Un jour, il s'arrêta dans la ville de Marseille et fut surpris par le non respect de la population. Deux jeunes garçons, âgés d'une vingtaine d'années le remarquèrent: «Eh, toi, que fais-tu là?». Ils s'avancèrent vers le vieil homme avec un regard agressif. Pris de panique, M. Dupont cria à l'aide. Personne ne vint à son secours. Les deux marseillais, n'acceptant pas ce geste, le tabassèrent sans raison valable. Le pauvre homme, gravement blessé, se rendit à l'hôpital. Il apprit par la suite que ses agresseurs vivaient dans des banlieue, et que tout étranger était leur principal cible.
N'oubliant pas son principal objectif, M.Dupont organisa un débat où quelques familles répondirent présent, Celles-ci étaient aussi victimes d'agressions et essayaient de lutter contre la violence, mais en vain. Une femme prit la parole: «Ne croyez-vous pas que tout çà est dû aux jeux vidéos? Les jeunes se croient dans un monde virtuel où seule la violence les intéresse. Des jeux comme GTA, ou Call Of Duty ne devraient pas exister.» Ses paroles furent applaudies. M.Dupont ainsi que les familles présentes décidèrent d'écrire aux créateurs de ces jeux-vidéos.
Dans l'attente d'une réponse, ils organisèrent des manifestations pour le moins originales. Déguisés en braqueurs et tueurs, ils se promenaient dans la ville avec des pancartes où il était inscrit: « Voyez à quoi vous ressemblez!». Des cris et des moqueries furent lancés. Le vieil homme intervint et s'exclama: «Riez, Riez, mais voyez à quoi vous ressemblez! Regardez vous dans un miroir avec votre regard de terroriste et votre allure de rottweiler! Voyez dans quel monde vous vivez, n'est-ce pas honteux?» Les jeunes se regardèrent et versèrent des larmes. Ils se rendirent compte de la gravité de la situation et s'excusèrent auprès de M.Dupont et des autres familles.
Les jeux-vidéos incitant à la violence furent interdits sur le marché, et la ville de Marseille retrouva tout son calme et sa sérénité
