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Sagot :
Bonjour,
L'idéal de Voltaire, partisan de la République, est celui d'une monarchie libérale.
Entré au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau, célébré par la troisième République (dés 1870 à Paris un Boulevard et une place portent son nom, puis un quai, une rue, un lycée, un métro…), il a nourri au XIXe siècle les passions de ses adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique.
Voltaire s'est passionné pour plusieurs affaires et s'est démené pour que la justice soit rendue en 1762 dans l'affaire Cals, en 1764 dans l'affaire Sirven, en 1766, dans l'affaire du Chevalier de la Barre et en 1776 dans l'affaire Lally-Tollendal.
Toute l’œuvre de Voltaire est un combat contre le fanatisme et l'intolérance, et cela dès La Henriade en 1723. "On entend aujourd'hui par fanatisme une folie religieuse, sombre et cruelle. C'est une maladie qui se gagne comme la petite vérole". Dictionnaire philosophique, 1764, article Fanatisme
Il a en tout cas lutté contre le fanatisme, celui de l'Église catholique comme celui du protestantisme, symboles à ses yeux d'intolérance et d'injustice. Tracts, pamphlets, tout fut bon pour mobiliser.
L'idéal de Voltaire, partisan de la République, est celui d'une monarchie libérale.
Entré au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau, célébré par la troisième République (dés 1870 à Paris un Boulevard et une place portent son nom, puis un quai, une rue, un lycée, un métro…), il a nourri au XIXe siècle les passions de ses adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique.
Voltaire s'est passionné pour plusieurs affaires et s'est démené pour que la justice soit rendue en 1762 dans l'affaire Cals, en 1764 dans l'affaire Sirven, en 1766, dans l'affaire du Chevalier de la Barre et en 1776 dans l'affaire Lally-Tollendal.
Toute l’œuvre de Voltaire est un combat contre le fanatisme et l'intolérance, et cela dès La Henriade en 1723. "On entend aujourd'hui par fanatisme une folie religieuse, sombre et cruelle. C'est une maladie qui se gagne comme la petite vérole". Dictionnaire philosophique, 1764, article Fanatisme
Il a en tout cas lutté contre le fanatisme, celui de l'Église catholique comme celui du protestantisme, symboles à ses yeux d'intolérance et d'injustice. Tracts, pamphlets, tout fut bon pour mobiliser.
Sa physionomie a souvent été
dénaturée dans des intérêts de parti : Voltaire n’est pas, comme la majorité de
ses contemporains, partisan de la République. Pour lui, le triomphe des
Lumières passe par l’alliance avec la fraction éclairée des détenteurs du
pouvoir.
Dans les ouvrages de Voltaire, on trouve les
empreintes de plusieurs cultures. À part la civilisation greco-romaine, il y a
l'Orient qui lui sert parfois d'alibi pour opérer une double critique (critique
de sa propre société et de la société représentée). L'influence de l'Orient
apparaît par exemple dans le conte Zadig. N'oublions pas qu'il est aussi
influencé par la culture anglaise.
Il utilise ses oeuvres pour dénoncer une satire
féroce des moeurs et des institutions du siècle des Lumières. L'humour et l'ironie
ont une place importante dans ses romans, car c'est par ce biais que Voltaire
critique les apparences et la société française de son époque.
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