Bonjour bonjour ! ^^
Alors déjà : L'incipit c'est lé début d'un texte, tandis que l'épilogue, c'est la fin =)
Donc :
Incipit
2) Les champs lexicaux dominants : On a le lexique de l'obscurité : "nuit", "obscurité", "épaisseur d'encre", "le sol noir", "ombre", "ténèbres",
Ensuite, le lexique du froid : "vent", "rafales", "glacées', 'grelottant", "gourdes", "le froid", "besoin de se chauffer",
Puis celui du feu : "feux rouges", "brasiers brûlant", "chauffer", "les feux", "fumeuses", "lanternes", "bois noircis", "fumée"
Les métaphores : "épaisseur d'encre" : on compare l'obscurité à l'encre noire pour insister sur l'idée de noir complet.
"une seule voix montait, la respiration grosse et longue d'un échappement de vapeur" on compare la vapeur à la respiration humaine, (personnification) qui montre bien qu'on dirait une entité vivante.
Le lexique dépreciatif : C'est un lexique "péjoratif" pour indiquer que ce n'est pas "appréciable" : "gênait", "faisaient sainger", "ouvrier sans travail et sans gîte", "crainte', "masse lourde", "tas écrasé", "fenêtres encrassées", "tristes", "apparition fantastique". (là je suis pas très sûre par contre).
Le décor est caractérisé par l'obscurité totale, l'apparition fantomatique de la fosse.
3. "L'homme", "sa tête vide d'ouvrier sans travail et sans gîte","pris de crainte'.
On ne prend que des éléments péjoratifs qui indiquent sa classe sociale
4. "vers", "depuis", "d'abord", "puis", "tandis", "brusquement", "alors" Cet incipit est donc construit de façon chronologique (je crois ^^')
5. "tête vide", "sans qu'il comprit", "L'homme reconnut une fosse". On voit que l'homme n'est pas très intelligent, on peut donc imaginer qu'il va apprendre des choses au cours du roman
(là je suis pas trop sûre mais c'est la seule chose que j'ai pu trouver)
6. Qui voit la scène : C'est un point de vue interne : donc l'homme
"il ne voyait même pas", "il n'avait la sensation" : On sait ce qu'il voit et ressent. On sait aussi d'où il vient : 'était parti de Marchiennes' et qui il est ; "ouvrier sans travail", ce qu'il espère : 'l'espoir que le froid serait moins vif."
Le deuxième paragraphe est très interne. La dernière phrase du texte de même.
7. Là c'est plutôt à toi de le faire : mais en gros c'est quelque chose de très impressionnant 'gigantesques" pour un personnage comme celui-ci, qui n'en a jamais vu. C'est aussi un peu comme une entité vivante, (cf la personnification) ect
Je suis désolée, je dois y aller, je reviendrai te faire l'épilogue après ^^'
