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Sagot :
« Il me pressait de toutes parts ; tantôt à la tête, tantôt aux flancs, il me saisissait, ou
semble me saisir. Défendu par mon poids, je résistais et rendais ses efforts inutiles. J'était comme un rocher qui, battu par les flots en colère, restais immobile, affermi par
sa masse. Nous nous éloignions pour reprendre haleine ; nous nous rapprochions
avec une nouvelle ardeur. […] Mes pieds touchaient ses pieds, mes doigts ses doigts. »
« Ses doigts saisissaient alors mon cou, le meurtrissaient, et je me sentais pressé comme
par des tenailles. […] Hercule se portait sur mes flancs, jettait autour de mon cou ses
bras nerveux : je l’entraînais, et, sans lâcher prise, il me suivais, saisissait de mon front la
corne menaçante, me courbe, me renversais à ses pieds, me roulais sur l’arène. »
semble me saisir. Défendu par mon poids, je résistais et rendais ses efforts inutiles. J'était comme un rocher qui, battu par les flots en colère, restais immobile, affermi par
sa masse. Nous nous éloignions pour reprendre haleine ; nous nous rapprochions
avec une nouvelle ardeur. […] Mes pieds touchaient ses pieds, mes doigts ses doigts. »
« Ses doigts saisissaient alors mon cou, le meurtrissaient, et je me sentais pressé comme
par des tenailles. […] Hercule se portait sur mes flancs, jettait autour de mon cou ses
bras nerveux : je l’entraînais, et, sans lâcher prise, il me suivais, saisissait de mon front la
corne menaçante, me courbe, me renversais à ses pieds, me roulais sur l’arène. »
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