Je me suis retournée et j'ai découvert une forêt sombre et effrayante. Comme les forêts que l'on voit dans les films, ces forêts qui donnent la chair de poule et qui nous glace le sang. Il était très tard, aux alentours de minuit, et j'étais seule dans la brume de la nuit. J'ai voulu faire demi-tour mais j'étais déjà dans la forêt sans même avoir bougé. C'était elle qui bougeait, la forêt se rapprochait de moi. Petit à petit la forêt m'engloutissait jusqu'à ce qu'elle eu aspiré mon âme dans ses abîmes glaciales.