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Sagot :
bonjour,
vous trouverez en pièce jointe votre texte quelque peu corrigé
1)Nous sommes en situation d'instance civile :le Conseil de Prud'homme devant lequel se règlent les problèmes entre employeur et salarié .
Il s'agit ici d'une contestation d'un licenciement pour faute professionnelle prononcé par un employeur à l'encontre d'une salariée .
L'employeur a prononcé le licenciement s'appuyant sur des retards à répétition .La salariée dénonce cette cause arguant que l'employeur se venge du refus de la salariée de répondre à ses avances.
La salariée entend que la cause du licenciement n'est pas la cause réelle , et demande au Conseil de déclarer ce licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Les parties en présence sont donc la demanderesse :la salariée et le défendeur l'employeur.
2)Le problème de droit consiste à considérer si le refus des avances a entrainé le licenciement ou si ce sont bien les retards qui ont amené l'employeur à licencier la salariée.
3) La charge de la preuve est ici assez complexe à définir .En principe , la demanderesse réclame un licenciement sans cause réelle et sérieuse ,elle devrait donc prouver que la cause du licenciement consignée dans la lettre de licenciement n'est pas fondée.Mais elle s'appuie sur le fait de "harcelement" et dans ce cas , les deux parties doivent apporter la preuve ou tout au moins le commencement de preuve de ce harcélement pour la demanderesse et du non harcélement pour le défendeur.
4) La demanderesse doit apporter la preuve du harcélement , mais aussi que ces retards ne perturbaient le bon fonctionnement de l'entreprise
5).Le défendeur devra lui prouver qu'il n'y pas eu de harcélement et que les retards trop répétés perturbaient l'entreprise et relevaient d'une faute professionnelle.
6) L'apparition des nouveaux moyens de communication ; tels les SMS a entrainé une évolution dans le droits de la preuve. Quoique abstrait , le SMS par la possibilité d'être enregistré et conservé devient similaire à un écrit (voir les conditions )
7)Les SMS peuvent être considérés comme une preuve au même titre qu'un acte sous seing privé en ce sens qu'il existe une connaissance chez les 2 interlocuteurs que ce dernier peut être enregistré et conservé à l'identique d'un texte sous seing privé.
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1)Nous sommes en situation d'instance civile :le Conseil de Prud'homme devant lequel se règlent les problèmes entre employeur et salarié .
Il s'agit ici d'une contestation d'un licenciement pour faute professionnelle prononcé par un employeur à l'encontre d'une salariée .
L'employeur a prononcé le licenciement s'appuyant sur des retards à répétition .La salariée dénonce cette cause arguant que l'employeur se venge du refus de la salariée de répondre à ses avances.
La salariée entend que la cause du licenciement n'est pas la cause réelle , et demande au Conseil de déclarer ce licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Les parties en présence sont donc la demanderesse :la salariée et le défendeur l'employeur.
2)Le problème de droit consiste à considérer si le refus des avances a entrainé le licenciement ou si ce sont bien les retards qui ont amené l'employeur à licencier la salariée.
3) La charge de la preuve est ici assez complexe à définir .En principe , la demanderesse réclame un licenciement sans cause réelle et sérieuse ,elle devrait donc prouver que la cause du licenciement consignée dans la lettre de licenciement n'est pas fondée.Mais elle s'appuie sur le fait de "harcelement" et dans ce cas , les deux parties doivent apporter la preuve ou tout au moins le commencement de preuve de ce harcélement pour la demanderesse et du non harcélement pour le défendeur.
4) La demanderesse doit apporter la preuve du harcélement , mais aussi que ces retards ne perturbaient le bon fonctionnement de l'entreprise
5).Le défendeur devra lui prouver qu'il n'y pas eu de harcélement et que les retards trop répétés perturbaient l'entreprise et relevaient d'une faute professionnelle.
6) L'apparition des nouveaux moyens de communication ; tels les SMS a entrainé une évolution dans le droits de la preuve. Quoique abstrait , le SMS par la possibilité d'être enregistré et conservé devient similaire à un écrit (voir les conditions )
7)Les SMS peuvent être considérés comme une preuve au même titre qu'un acte sous seing privé en ce sens qu'il existe une connaissance chez les 2 interlocuteurs que ce dernier peut être enregistré et conservé à l'identique d'un texte sous seing privé.
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