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Sagot :
La ville, est pour moi un lieu de rencontre car le fait d'avoir tous ces endroits publics favorisent la rencontre.
Les jeunes qui vont à la bibliothèque pour les études et qui demandent de l'aide au plus âgés, les enfants qui jouent dans le parc et qui sont relevés par des inconnus. Tous ces gens rencontrés dans la rue, une bousculade à cause de la foule, un sourire échangé, un petit signe main et peut-être, par la suite, des affinités.
La ville est le lieu des rencontres, le berceau de l'amitié par ces nombreux gens que l'on y croisent. Cette dame assise sur son banc, seule et puis, un jour, un jeune vient lui parler. Et là, une amitié presque improbable naît. La ville nous permet d'échanger, de rire au quotidien avec les marchands du coin de la rue, avec tout le monde.
La ville permet de s'exprimer librement, par les groupes de musiques des campus par exemple. La tolérance de tous.
La ville favorise les rencontres, elle regorge des personnes et d'endroits pour se rencontrer. Elle est fait pour ça!
(J'espère ne pas être hors-sujet ^^)
Les jeunes qui vont à la bibliothèque pour les études et qui demandent de l'aide au plus âgés, les enfants qui jouent dans le parc et qui sont relevés par des inconnus. Tous ces gens rencontrés dans la rue, une bousculade à cause de la foule, un sourire échangé, un petit signe main et peut-être, par la suite, des affinités.
La ville est le lieu des rencontres, le berceau de l'amitié par ces nombreux gens que l'on y croisent. Cette dame assise sur son banc, seule et puis, un jour, un jeune vient lui parler. Et là, une amitié presque improbable naît. La ville nous permet d'échanger, de rire au quotidien avec les marchands du coin de la rue, avec tout le monde.
La ville permet de s'exprimer librement, par les groupes de musiques des campus par exemple. La tolérance de tous.
La ville favorise les rencontres, elle regorge des personnes et d'endroits pour se rencontrer. Elle est fait pour ça!
(J'espère ne pas être hors-sujet ^^)
Bonjour
Je vais essayer de te donner des arguments à partir desquels, j'espère tu pourras bosser
J'ai vécu jusqu'à l'année dernière dans des trous paumés et là je suis en ville.
L'intolérance, je l'ai plus ressentie à la campagne. Tout le monde connait tout le monde et les ragots vont plus vite que la fumée des Indiens !!! La plupart du temps, ils ne sont fondés sur rien. Ma mère a eu la vie dure : une femme vivant seule avec son enfant !!!!! Dès qu'un homme, ami, serrurier, jardinier rentrait à la maison....enfin je laisse imaginer. Radio tam tam.
Les gens ne viennent pas vers vous pour faire connaissance, quant à moi, j'étais très jeune, je me suis bien fait bizuter sans m'en rendre compte et comme ma mère n'a pas la langue dans sa poche...enfin bref ? Le village de Cloche Merle , je ne sais pas si tu connais cette expression
Tu as besoin d'aide, on te la propose alors que tu n'as rien demandé mais le jour venu il n'y a plus personne.
Je trouve les gens hypocrites, et pas très accueillants. Les groupes sont formés et on dérange. Par contre, ils sont très curieux et on s'aperçoit vite que ce que l'on a dit va se transformer au fur et à mesure comme une boule de neige et pas dans le bon sens
A paris, les fêtes des voisins existent. Avant hier, on a frappé à notre porte, un locataire était en panne de sel ..... On se croise dans les escaliers , on se dit bonjour, au revoir. On s'habille comme on veut. ça me concerne pas trop, mais si ma mère doit descendre acheter une baguette de pain vite fait, elle et tout le monde s'en fout de la façon dont on est habillé (alors qu'à la campagne, elle était tout le temps scrutée;) c'est vrai qu"elle a son style mais rien d'extravagant.
Oui la ville est un lieu de tolérance, de liberté (on n'est pas jugé) et pas si anonyme qu'on veuille bien le dire.
Et l'anonymat ne dépend pas que de l'autre, mais aussi de soi. Si on marche les mains dans les poches, la tête rentrée dans les épaules, peu de chances de faire des rencontres.
Ma mère y a habité pendant 20 non-stop et elle s'était fait plein d'amis. Elle avait gardé l'aspect pas pressé de la campagne, et se mêlait assez facilement aux autres. Un visage souriant, un bonjour- au revoir chez les commerçants, et on se sent vite chez soi.
A la campagne, il est où le lieu de convivialité des petits commerçants?????
Y en a plus...tous disparus et en avant pour les super marchés.
Ici on a encore les commerçants, les marché etc.....
La ville subit trop de préjugés qui, à mon avis, n'ont pas lieu d'être
voilà une partie de mon point de vue
bonne soirée
Je vais essayer de te donner des arguments à partir desquels, j'espère tu pourras bosser
J'ai vécu jusqu'à l'année dernière dans des trous paumés et là je suis en ville.
L'intolérance, je l'ai plus ressentie à la campagne. Tout le monde connait tout le monde et les ragots vont plus vite que la fumée des Indiens !!! La plupart du temps, ils ne sont fondés sur rien. Ma mère a eu la vie dure : une femme vivant seule avec son enfant !!!!! Dès qu'un homme, ami, serrurier, jardinier rentrait à la maison....enfin je laisse imaginer. Radio tam tam.
Les gens ne viennent pas vers vous pour faire connaissance, quant à moi, j'étais très jeune, je me suis bien fait bizuter sans m'en rendre compte et comme ma mère n'a pas la langue dans sa poche...enfin bref ? Le village de Cloche Merle , je ne sais pas si tu connais cette expression
Tu as besoin d'aide, on te la propose alors que tu n'as rien demandé mais le jour venu il n'y a plus personne.
Je trouve les gens hypocrites, et pas très accueillants. Les groupes sont formés et on dérange. Par contre, ils sont très curieux et on s'aperçoit vite que ce que l'on a dit va se transformer au fur et à mesure comme une boule de neige et pas dans le bon sens
A paris, les fêtes des voisins existent. Avant hier, on a frappé à notre porte, un locataire était en panne de sel ..... On se croise dans les escaliers , on se dit bonjour, au revoir. On s'habille comme on veut. ça me concerne pas trop, mais si ma mère doit descendre acheter une baguette de pain vite fait, elle et tout le monde s'en fout de la façon dont on est habillé (alors qu'à la campagne, elle était tout le temps scrutée;) c'est vrai qu"elle a son style mais rien d'extravagant.
Oui la ville est un lieu de tolérance, de liberté (on n'est pas jugé) et pas si anonyme qu'on veuille bien le dire.
Et l'anonymat ne dépend pas que de l'autre, mais aussi de soi. Si on marche les mains dans les poches, la tête rentrée dans les épaules, peu de chances de faire des rencontres.
Ma mère y a habité pendant 20 non-stop et elle s'était fait plein d'amis. Elle avait gardé l'aspect pas pressé de la campagne, et se mêlait assez facilement aux autres. Un visage souriant, un bonjour- au revoir chez les commerçants, et on se sent vite chez soi.
A la campagne, il est où le lieu de convivialité des petits commerçants?????
Y en a plus...tous disparus et en avant pour les super marchés.
Ici on a encore les commerçants, les marché etc.....
La ville subit trop de préjugés qui, à mon avis, n'ont pas lieu d'être
voilà une partie de mon point de vue
bonne soirée
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