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Bonjour,
Pouvez-vous m'aidez à compléter les pointillés car je ne trouve pas tous les mots.
J'ai trouvé certains mots mais je ne les pas tous trouvé.
Les mots sont en pièces jointes.
Molière est un dramaturge qui a écrit des comédies qui mettent en scène des personnages de basse condition sociale autour d’une intrigue amoureuse. Contrairement aux tragédies de Racine (où le ……………commente l’action des héros et où la catharsis libère les pulsions néfastes du spectateur) et aux …………… romantiques (où l’action évoque une révolte amoureuse ou politique), le …………………….de la pièce est heureux. Certaines pièces sont des comédies - ballet c'est-à-dire qu’elles contiennent des passages chantés et dansés. D’autres sont des farces : des pièces courtes et populaires qui reposent sur un comique grossier (coups de bâton, etc..). Molière s’est souvent inspiré de la commedia dell’arte, un théâtre de rue et d’improvisation italien. Dans la scène d’exposition le lecteur peut assister au ………………….entre plusieurs personnages ou à l’inverse au monologue d’un seul personnage qui permet de présenter l’intrigue et les personnages principaux. Les ………………..s’enchaînent rapidement si elles contiennent de la ……………………..; en revanche, si les personnages font des………………., le rythme sera plus lent. Les didascalies renseignent le lecteur sur l’attitude des personnages ; elles indiquent notamment si le personnage fait un aparté, c'est-à-dire s’il ne s’adresse qu’au public. La……………………………………., caractéristique du théâtre, permet au spectateur d’en savoir plus que les personnages et de s’amuser des …………………….qui rendent la pièce comique. Certaines pièces contiennent un dénouement, c'est-à-dire un retournement de situation ou se termine par une fin………………………………, une fin surprenante sans lien avec l’intrigue. La scénographie est l’art de la mise en scène. Le théâtre classique du XVII°s impose aux auteurs de respecter certaines règles, notamment la règle des trois unités(un seul lieu, une seule action, une seule journée), la règle de bienséance(l’action doit imiter la réalité) et la règle de vraisemblance(le respect de la morale sur scène). Au XVIII°s, on nomme marivaudage un échange de propose galants et précieux entre des personnages qui cherchent à se séduire (du nom de l’auteur Marivaux). Au XIX°s apparaît le quiproquo, une comédie légère qui repose sur des malentendus entre les personnages.
S'il vous plait, c'est très urgent c'est pour lundi.
