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Sagot :
Bonjour !
Ma réponse, la voici, la voilà, j'espère que tu l'apprécieras !
Ce soir là, j'avais été très fatiguée par ma journée. J'avais commencé tôt, fini tard, et j'étais bien heureuse de pouvoir enfin m’asseoir sur mon canapé et profiter un peu du temps que j'avais. Je n'avais pas beaucoup de devoirs, je m'étais déjà avancée. Soulagée, je m'étais déchaussée rapidement, et je m'étais installée tout près de mon chat, dans l'espoir qu'il grimpe sur mes genoux, comme lorsqu'il se montre câlin. Mon chat s'appelait Tigrou. Il n'avait qu'un an et demi, et était souvent un peu joueur, mais toujours très gentil. Jamais il n'avait griffé personne, et jamais je ne l'avais entendu feuler à l'encontre de qui que ce soit. C'était mon bon petit chaton, en somme.
Mais ce soir là...
Ce soir là, quelque chose n'allait pas.
Je le voyais tourner sur lui même, remuer la queue, les poils presque hérissés, vraiment tout excité. J'étais vraiment surprise, cela ne lui arrivait jamais. Vraiment jamais.
J'enlevais vite mon pull, je savais d'expérience qu'il valait mieux ne pas toucher de chats avec si l'on ne voulait pas se retrouver plein de poils, et le pris dans mes bras.
En temps normal, il se serait blotti contre moi, aurait remué deux ou trois secondes, puis se serait mis à ronronner. Cette fois, ce ne fut pas le cas, loin de là. Il grogna, s'agita tant et si bien que je fus obligée de le reposer rapidement, de peur de me prendre un coup de patte. Perturbée, je m'agenouillais à côté de lui pour l'examiner. Se serait-il fait mal ? Je n'en eu malheureusement pas le temps, il fila sans demander son reste.
Je secouai la tête. Mais que pouvait-il bien lui prendre ?
Je me dirigeai vers ma chambre, certaine de le retrouver étaler sur mon lit, comme à son habitude. Surprise. Et pas une belle. Ma couverture était griffée dans tous les sens, étalée au sol.
"Tigrou ?! Qu'est-ce que tu as fait ?" m'écriai-je aussitôt.
C'est alors que je les vis. Juste devant moi, se tenaient deux chats. Mon Tigrou, qui feulait très fort pour la première fois de sa vie, et un autre. Un gros matou, comme ceux qui restent toujours à la maison, blanc, avec de grands poils épais, qui se tenait en face de mon chat d'un air agressif.
"Mamaaaaan !" appelai-je.
Ma mère ouvrit la porte de sa chambre à la volée et arriva jusqu'à moi.
"Que se passe-t-il ma chér... Ah. Tu as fait la connaissance de Balou."
"Hein ? Mais d'où il sort ce chat ?"
"C'est la voisine qui m'a demandé de le garder juste aujourd'hui. Mais s'il se comporte comme ça, à détruire tes draps, il est hors de question que je le garde plus longtemps."
Je soupirai en regardant les deux chats, hérissés, aussi effrayés l'un que l'autre.
"Bon, murmurai-je, on va s'occuper de ces deux là."
Ma réponse, la voici, la voilà, j'espère que tu l'apprécieras !
Ce soir là, j'avais été très fatiguée par ma journée. J'avais commencé tôt, fini tard, et j'étais bien heureuse de pouvoir enfin m’asseoir sur mon canapé et profiter un peu du temps que j'avais. Je n'avais pas beaucoup de devoirs, je m'étais déjà avancée. Soulagée, je m'étais déchaussée rapidement, et je m'étais installée tout près de mon chat, dans l'espoir qu'il grimpe sur mes genoux, comme lorsqu'il se montre câlin. Mon chat s'appelait Tigrou. Il n'avait qu'un an et demi, et était souvent un peu joueur, mais toujours très gentil. Jamais il n'avait griffé personne, et jamais je ne l'avais entendu feuler à l'encontre de qui que ce soit. C'était mon bon petit chaton, en somme.
Mais ce soir là...
Ce soir là, quelque chose n'allait pas.
Je le voyais tourner sur lui même, remuer la queue, les poils presque hérissés, vraiment tout excité. J'étais vraiment surprise, cela ne lui arrivait jamais. Vraiment jamais.
J'enlevais vite mon pull, je savais d'expérience qu'il valait mieux ne pas toucher de chats avec si l'on ne voulait pas se retrouver plein de poils, et le pris dans mes bras.
En temps normal, il se serait blotti contre moi, aurait remué deux ou trois secondes, puis se serait mis à ronronner. Cette fois, ce ne fut pas le cas, loin de là. Il grogna, s'agita tant et si bien que je fus obligée de le reposer rapidement, de peur de me prendre un coup de patte. Perturbée, je m'agenouillais à côté de lui pour l'examiner. Se serait-il fait mal ? Je n'en eu malheureusement pas le temps, il fila sans demander son reste.
Je secouai la tête. Mais que pouvait-il bien lui prendre ?
Je me dirigeai vers ma chambre, certaine de le retrouver étaler sur mon lit, comme à son habitude. Surprise. Et pas une belle. Ma couverture était griffée dans tous les sens, étalée au sol.
"Tigrou ?! Qu'est-ce que tu as fait ?" m'écriai-je aussitôt.
C'est alors que je les vis. Juste devant moi, se tenaient deux chats. Mon Tigrou, qui feulait très fort pour la première fois de sa vie, et un autre. Un gros matou, comme ceux qui restent toujours à la maison, blanc, avec de grands poils épais, qui se tenait en face de mon chat d'un air agressif.
"Mamaaaaan !" appelai-je.
Ma mère ouvrit la porte de sa chambre à la volée et arriva jusqu'à moi.
"Que se passe-t-il ma chér... Ah. Tu as fait la connaissance de Balou."
"Hein ? Mais d'où il sort ce chat ?"
"C'est la voisine qui m'a demandé de le garder juste aujourd'hui. Mais s'il se comporte comme ça, à détruire tes draps, il est hors de question que je le garde plus longtemps."
Je soupirai en regardant les deux chats, hérissés, aussi effrayés l'un que l'autre.
"Bon, murmurai-je, on va s'occuper de ces deux là."
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