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Bonjour! je suis en terminale ES
SVP pourriez-vous verifier si j'ai bien commence mon explication SVP:

Bonne lecture

Bergson-LA conscience et la vie.
< portions de matière. Si on le pousse, il avance ; si on le tire, il recule ; si on le soulève et qu’on l’abandonne, il retombe. Mais, à côté de
ces mouvements qui sont provoqués mécaniquement par une cause extérieure, il en est d’autres qui semblent venir du dedans et qui
tranchent sur les précédents par leur caractère imprévu : on les appelle « volontaires ». Quelle en est la cause ? C’est ce que chacun
désigne par les mots « je » ou « moi ». Et qu’est-ce que le moi ? Quelque chose qui paraît, à tort ou à raison, déborder le corps qui y
est joint, le dépasser dans l’espace aussi bien que dans le temps. Dans l’espace d’abord, car le corps de chacun de nous s’arrête aux
contours précis qui le limitent, tandis que par notre faculté de percevoir, et plus particulièrement de voir, nous rayonnons bien au-delà
de notre corps : nous allons jusqu’aux étoiles. Dans le temps ensuite, car le corps est matière, la matière est dans le présent, et, s’il est
vrai que le passé y laisse des traces, ce ne sont des traces de passé que pour une conscience qui les aperçoit et qui interprète ce qu’elle
aperçoit à la lumière de ce qu’elle se remémore : la conscience, elle, retient ce passé, l’enroule sur lui-même au fur et à mesure que
le temps se déroule, et prépare avec lui un avenir qu’elle contribuera à créer. Même, l’acte volontaire, dont nous parlions à l’instant,
n’est pas autre chose qu’un ensemble de mouvements appris dans des expériences antérieures, et infléchis dans une direction chaque
fois nouvelle par cette force consciente dont le rôle paraît bien être d’apporter sans cesse quelque chose de nouveau dans le monde.
Oui, elle crée du nouveau en dehors d’elle, puisqu’elle dessine dans l’espace des mouvements imprévus, imprévisibles. Et elle crée
aussi du nouveau à l’intérieur d’elle-même, puisque l’action volontaire réagit sur celui qui la veut, modifie dans une certaine mesure le
caractère de la personne dont elle émane, et accomplit, par une espèce de miracle, cette création de soi par soi qui a tout l’air d’être
l’objet même de la vie humaine. »

L’objet du texte porte sur la composition de l’être humain comme étant un être dichotomique, on entend par là que l’être humain est compose de corps et d’esprit. Le problème que pose l’auteur porte sur la dualité du corps et de l’esprit en ce qui concerne le rapport entre la conscience et la matière au niveau de l’espace et du temps. La question à laquelle l’auteur tente de répondre est la suivante : Quelle est la relation de cette conscience chez l’homme avec le corps et comment entretenir le rapport avec le temps et l’espace ? La réponse que Bergson apporte et qui constitue l’idée générale est qu’il considère l’homme comme une matière figée dans le temps(le présent) et dans l’espace ; et d’autre part considère la conscience comme transcendante, c’est-à-dire être capable de faire des prospections, des rétrospections et aussi de l’inspection(passe, présent, futur). Ainsi Bergson qualifie l’homme comme etant un createur et libre.


Ce texte de Bergson soumis à notre analyse nous présente depuis les premières lignes, les lois physiques et naturelles auxquelles sont soumises toutes les matières. ‘’Chacun de nous…..si on le soulève et qu’on l’abandonne il retombe ”. Il nous montre que l’être humain est un corps qui est soumis aux lois physiques comme toutes les autres matières, qu’il soit inerte ou vivante. Comme si l‘on pousse une chaise, il avance et si l’on pousse un être humain il avancera également. C’est la réponse que nous apporte l’auteur l’expérience immédiat et naïve du sens commun. A partir de la conjonction de coordination ‘’mais’’ à côté de ces mouvements …… appelle << volontaires>> l’auteur fait un lien logique qui marque l’opposition entre l’idee exposee precedemment : il n’y a pas que les mouvements provoques par une cause exterieur, il existe egalement des mouvements qui sont provoques par une cause interieur, qui proviennent du dedans. Son role est de detourner l’homme des mouvements provoques par une force exterieur en terme physique comme la gravité ‘’ Quand on le pousse, il avance, quand on le tire il recule’’ etegalement d’une interiorite envisagable comme source de mouvement autonomes c'est-à-dire dont la cause se confond avec la pensee la reflexion, la ;logique, contrairement a l’exteriorite envisagable. Avec l’intermadiaire de cette interiorite envisagable l’homme est capable de choisir ou non de subir ces mouvements peovoques par une cause exterieure. Cependant cette idee vehiculee par l’auteur souleve la problematique de l’existance de cette interiorite qui permet aux sujet de poser une action volontairement, de son plein gré.


Merci de me corrige.


Sagot :

bonjour
Dans un premier temps je trouve tout bien,en ce qui concerne les mouvements du corps involontaire,donc différents d'une cause extérieure,je pense à certaines maladies comme"Parkinson",les effets vues suite aux traumatismes de la première guerre mondiale"mouvement totalement incontrôlables et incontrôlés"je pense aussi aux somnanbules,je pense aussi à la décorporation.
Je souhaite vous avoir aidé à compléter.