👤
Nino29
Answered

FRstudy.me: votre ressource incontournable pour des réponses expertes. Rejoignez notre communauté d'experts et obtenez des réponses détaillées à toutes vos questions, quel que soit le sujet.

Bonjour tout le monde svp aidez moi pour ce travail de Français:
sujet d'invention
vous raconterez en prose, sous forme d'un journal intime, la nuit d'un soldat dans une tranchée de guerre, lors d'une attaque surprise de l'ennemi. vous écrirez à la 1er personne du singulier un récit au passé. vous prendrez soin de faire ressortir les émotions du narrateur. vous respectez la cohérence historique.


Sagot :

bonjour,
" Ca y est.Ils ont lancé l'attaque"
La nuit était tombée depuis quelques heures. J'étais de faction là bas  au bout de notre tranchée . Juste à vingt métres, je pouvais voir les boches qui parfois discutaient entre eux.Mais depuis quelques minutes, plus un bruit. Depuis deux mois , que j'étais là, j'ai toujours préféré le bruit au silence.Au moins quand on entendait des murmures , on pouvait deviner où était l'ennemi. Mais quand le silence se faisait, alors on s' attendait à ce queque le pire arrivat .
J'étais mort de trouille , ce n'était pas la première attaque que j'allais vivre , mais à chaque fois c'était pareil "Pourvu que ce ne soit pas mon tour"
Mais rapidement , je n'eus plus à réfléchir: dans un tonnerre d'explosion , dans une lumiére due aux éclats , dans des cris rauques , j'avais compris que cette nuit serait terrible.
Je sifflais pour alerter les autres poilus de ma compagnie . Devant moi par vague je voyais sortir des tranchées d'en face les soldats ennemis.
Je me préparais au corps à corps , à la bataille à la baionnette , au couteau puisque je n'aurai jamais le temps de recharger mon Lebel.
Et soudain , je vis passer au dessus de ma t^te des obus , je vois eclater à dix pas de moi les bombes venues de l'arrière .
Notre artillerie répliquait avec force. Nous étions préparés à ces attaques surprises et nos artilleurs sur le qui-vive ont répondu instantanément
Je rentrais la tête dans le cou pour me protéger des eclats
.Et  quand je jetais un oeil au dessus de la tranchée c'était un vrai carnage .Aucun des assaillants n'avaient atteint nos lignes. Protégés par le bombardements , c'était nous qui repoussions nos ennenmis. Et ceux-ci sans protection étaient tirés comme des lapins.
En un quart d'heure , le sol était jonché de morts et le terrain qui séparaient les deux fronts n'était plus qu'un trou , qu'un cratére tant les bombes avaient été nombreuses.
Le pire , je pensais était que cela ne me faisait plus rien.J'étais devenu insensible au sort des autres .je pensais à moi rien qu'à moi .Et cette nuit j'en ai voulu à tous ceux que je ne connaissais pas et qui ne me connaissaient ,mais qui ont fait que moi pauvre bougre qui n'avait rien demandé , j'étais là à tuer .
On vint me relever de ma garde et je pus retourner essayer de dormir dans le froid et la boue.
Ce n'était pas mon tour , cette nuit-là
nous étions moi et mes compagnons de guerres assis là dans cette tranchée nous étions salles et vieillis par cette guerre ma famille me manquait terriblement je ne savais que faire pour éviter de penser à eux mais je devais aller de l'avant un soldat mutilé gisait sur le sol et les brancardiers tous plus agités les uns que les autres essayaient tant bien que mal de sauver les soldats blessés lors des assauts nous n'entendions plus les obus les mortiers tomber au sol nous attendions les ordres du capitaine firgerald ,un barbu grand et droit venant d'une famille de riches.la fatigue pesait,nous étions la attendant les ordres le silence régnait pour la première fois depuis ,depuis jamais pensais-je.d'un coup nous entendîmes un cri de guerre suivi de coup de feu et de pas mêlés.voila l'attaque était lancée par nos ennemis .je craignais le pire nous nous levâmes d'un bond et sortîmes la tête de la tranchée pour voir ce qui se passait .c'était bien eux les ennemis ils tiraient au canon et au mortier d'autres utilisaient des mitrailleuses ou des grenades notre capitaine haut gradé nous fit mine de venir, nous nous avançâmes donc pour écouter ce qu'il avait a nous dire.un obus s'écrasa sur la première rangée de tranchée des gazs s'élevaient dans le ciel et venaient s'abattre sur nos camarades pour les asphixiés le bruit interminable des canons venait rajouter une mélodie a ce concert bruyant et atroce.je devais faire quelque chose ,mai quoi .toutes les pensées se bousculaient dans ma tête j'étais exténuer par ce vacarme et cette violence je mourrais de faim . le capitaine nous disait qu'il fallait contrecarré le plan d'attaque.je n'avais plus de forces un autres missiles s'abattu sur nos soldats il devait y avoir une vingtaine de pertes de notre cotés cette fois ils avaient triompher .ils ont on gagner la manche mais pas la guerre me répétais-je dans ma tête nous allons lancer l'offensive ce soir .ce n'est pas fini ! déclara un sergent , nous avons une meilleure force militaire qu'eux.tout ce dont je rêvais était de rentrer chez moi mais je n'y rentrerais peut-être jamai.
et voila en ésperant t'avoir aidé et bonne chance