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J'AURAIS BESOIN QUE L'ON M'AIDE A CORRIGER MES FAUTES S'IL VOUS PLAÎT

A mi-chemin mais déjà essoufflé, Julien voyait le paysage défiler, les petits rochers glissés sous ces pieds.
Plus il avançait, plus l'herbe autour de lui devenait verte et les fleures fleurissaient egalement de pas en pas.
De temps en temps des animaux tel des lièvres, des rapaces passaient par la.
Le soleil chaud etait derrière lui et la mer de nuage laissait place à un ciel rosé.
Julien tribuchait à meinte reprise mais il se relevait fier et continuait à avancer.
A chaque fois qu'il tombait il pensait à un triste moment de sa vie qui blessé.
Le sentier devenait de plus en plus étroit et difficile d'accès jusqu'à que se devinne large et plat.
Il était arriver au sommet.
Il laissait échapper un soupire.
Julien pensait à se qu'il venait de traverser et à son vécu, tout en voyant le ciel s'assombrir comme son coeur.
Il réfléchi à tout se mal que on lui a infliger.
Cette humiliation quand il etait petit, à ses phrases mechantes que on lui à jetter.
Il repensait à quand on lui avait dit qu'il n'y arriverait pas, qu'il etait liée a l'échec.
Un larme roula sur sa joue quand il se rappella de sa famille.
Ces parents etaient décédés dans un accident de voiture et il n'a pas vraiment pue les connaître.
Il se mit ensuite à penser à ces futur décision.
La réussite.
Il voulait réussir.
Gravir la montage est aller tout en haut ne le lui suffisait pas, il voulait plus, aller plus loin et pour ce motiver il se disait qu'il viserait la lune car même en car d'échec il aterira dans les etoiles.
Il revenait à la raison avec conviction de ne laisser personne le rabaisser et qu'il ne trebucherait plus jamais.
Avec cette dernière phrase en tête, Julien pleins de confiance en soit et déterminer.
Redescendit de la montagne pour faire face au gens et montrer qui il est vraiment.


Sagot :

Bonsoir,

A mi-chemin mais déjà essoufflé, Julien voyait le paysage défiler, les petits rochers glissersous ces pieds.
Plus il avançait, plus l'herbe autour de lui devenait verte et les fleurs fleurissaient également de pas en pas.
De temps en temps des animaux tels des lièvres, des rapaces passaient par là.
Le soleil chaud était derrière lui et la mer de nuages laissait place à un ciel rosé.
Julien trébuchait à maintes reprises mais il se relevait fier et continuait à avancer.
A chaque fois qu'il tombait il pensait à un triste moment de sa vie qui l'avait blessé.
Le sentier devenait de plus en plus étroit et difficile d'accès jusqu'à ce qu'il devienne large et plat.
Il était arrivé au sommet.
Il laissait échapper un soupire.
Julien pensait à ce qu'il venait de traverser et à son vécu, tout en voyant le ciel s'assombrir comme son coeur.
Il réfléchi à tout ce mal que on lui a infligé.
Cette humiliation quand il était petit, à ces phrases méchantes qu'on lui a dit.
Il repensait à quand on lui avait dit qu'il n'y arriverait pas, qu'il était voué à l'échec.
Une larme roula sur sa joue quand il se rappela de sa famille.
Ses parents étaient décédés dans un accident de voiture et il n'a pas vraiment pu les connaître.
Il se mit ensuite à penser à ses futures décisions
La réussite. 
Il voulait réussir.
Gravir la montage et aller tout en haut ne le lui suffisait pas, il voulait plus, aller plus loin et pour se motiver il se disait qu'il viserait la lune car même en cas d'échec il atterrirait dans les étoiles.
Il revenait à la raison avec conviction de ne laisser personne le rabaisser et qu'il ne trébucherait plus jamais.
Avec cette dernière phrase en tête, Julien plein de confiance en lui et déterminé redescendit de la montagne pour faire face aux gens et montrer qui il est vraiment.
- à mi-chemin : ligne 1 : n'oubli pas l'accent sur le A

- sous SES pieds : ligne 2 à 3

- les FLEURS fleurissaient : ligne 5 : pas de E à fleurs

- également : ligne 5 : n'oubli pas l'accent

- des animaux TELS des ... : ligne 7 : n'oubli pas S à tel

- par là : ligne 8 : n'oubli pas l'accent sur le A

- Le soleil chaud ÉTAIT .. : ligne 9 : accent sur le "était"

- la mer de nuageS : ligne 9 : S à nuages

- à MAINTES REPRISES ligne 10

- Moment de sa vie qui BLESSAIT : ligne 14

- jusqu'à CE QUE CELA DEVIENNE large et plat lign14

- Il était ARRIVÉ : ligne 15 : accent sur le E

- Un SOUPIR : ligne 16 : il n'y a pas de E à soupir

- Pensait à CE qu'il venait : ligne 17

- à tout CE mal ligne 20

- qu'on lui avait infligé ligne 20

- quand il ÉTAIT petit ligne 21 : accent sur le E

- à CES phrases méchantes QU'ON lui a jeté ligne 23

- refait la phrase entier ce n'est pas français :
Il repensait au moment où on lui avait dit qu'il n'y arriverait pas et qu'il était voué à l'échec ligne 25 à 26

- SES parents étaient décédés

- Il n'a pas vraiment PÛ les connaître

- penser à SES FUTURES DÉCISIONS

- gravir la montagne ET ALLER tout en haut

- et pour SE motiver

- même en CAS d'échec il ATTÉRIRAIT dans les étoiles

- qu'il ne TRÉBUCHERAIT plus jamais (accent sur E)

- Julien PLEIN de confiance en LUI et DÉTERMINÉ

- faire face AUX gens et montrer qui il ÉTAIT vraiment