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Sagot :
Bonjour,
Une petite aide :
Introduction :
« Être soi-même », c’est quand on a une connaissance de ses émotions, de ses actes, de ce qu’on est capable de faire ou de ne pas faire. C’est aussi quand on connait ses qualités physiques, intellectuelles et morales mais aussi c’est ses défauts. « Être soi-même » peut aussi signifier avoir sa personnalité propre, être unique, avoir son seul caractère et n’avoir aucune honte à le revendiquer au reste du monde.
Malgré, que le sentiment d’être soi-même n’abandonne jamais la pensée il nous arrivent quelque fois de s'interroger sur l’unité et sur l’identité de notre être.
1) Nous ne sommes que nous-même
À partir du moment où l'on pense, où l'on réfléchit, se questionne, on peut dire que l’on maîtrise ce que l’on fait et donc que nous sommes maître de soi. En tant qu’individu d’une société, on doit respecter des droits et des devoirs, et c’est par ce biais-là, que l’on est le simple reflet de l’image que l’on représente. La conscience de ce que l’on fait et du monde qui nous entoure est le constat immédiat que l’on peut faire.
D’après Descartes, nous avons le droit de douter de tout ce qu’on l’on veut mais pas de ce qu’on peut penser par notre esprit et par notre opération de la conscience : « Je pense donc je suis ». Être « moi », c’est posséder en son esprit l’état ultime de la personne dont on est, l’esprit mené par la conscience de l’individu en tant que tel. On aura beau avoir tort mais tant que notre pensée ne se subjuguera pas, il nous sera dans l’impossibilité de dire que nous ne sommes pas nous-même, qu’on est autre. La conscience contribue à établir ce lien avec notre identité et permet de se rassurer qu’on est bien « soi » et personne d’autre.
2) Possibilité de ne pas être soi-même
Nous ne sommes pas tous identiques car il existe une diversité humaine très développée.
Platon dit que chaque homme possède une essence, une qualité fondamentale qui crée la différence entre tous les êtres humains. Les êtres humains cherchent à être différents des autres; Nous avons tous menti à autrui consciencieusement, mais il est encre plus grave de se
mentir à soi-même d'après Kant. Il dit même que mentir c'est « renoncer à sa
personnalité » et même renoncer à être homme. Car mentir au autre c'est d'abord se mentir à soit même, c'est atteindre sa dignité.« la façon de s’y livrer est pourtant, de par sa simple forme, un crime de l’homme envers sa propre personne et une indignité qui doit le rendre méprisable à ses propres yeux » Pour Kant être soit même c'est avant tout ne pas mentir à
fin de respecter notre dignité et celle des autres.
3) Être différent pour être soi-même
En ce qui concerne l'influence que autrui à sur nous, on sait qu'être soi-même n'est pas un état figé, mais plutôt un mouvement en perpétuelle amélioration. Amélioration que l'on peut noter lorsqu'un individu tente d'atténuer ses défauts ou lorsqu'il réussit à mieux se contrôler. De plus, il faut bien qu’il y ait un regard extérieur pour savoir ce qui est à améliorer chez nous. Car en effet, si l’on ne se contentait que de notre avis ou regard personnel, on risquerait fort de se tromper au niveau de notre jugement, on s'éloignerait peu à peu de la réalité de notre condition. Puisqu'on aurait plutôt tendance à relever les détails principalement positifs nous composant, ou encore à minimiser ou aggraver tel ou tel défaut ou telle erreur. Peut-on en effet se mésestimer ? Est-ce mieux que de se surestimer ?
Conclusion :
Pour être soi-même, nous avons un besoin d’affirmation de « soi » au travers d’une identité révélatrice de notre personnage. La conscience est la clé de notre univers, de notre pensée. Cependant de nombreuses expériences contribuent à démontrer que nous avons plusieurs portraits suivant ce que l’on fait. Être soi-même c’est agir en fonction de tous ces changement, mais c’est aussi garder une unité autour de « nous », qu’on peut retrouver dans n’importe quelle expérience, sans qu’aucune forme déstabilisante ne vienne bouleverser cela. « Je » ne peut pas être autre chose que « je » comme l’affirmait Rimbaud « Être soi-même » est ainsi le chemin de la vie à suivre...
Une petite aide :
Introduction :
« Être soi-même », c’est quand on a une connaissance de ses émotions, de ses actes, de ce qu’on est capable de faire ou de ne pas faire. C’est aussi quand on connait ses qualités physiques, intellectuelles et morales mais aussi c’est ses défauts. « Être soi-même » peut aussi signifier avoir sa personnalité propre, être unique, avoir son seul caractère et n’avoir aucune honte à le revendiquer au reste du monde.
Malgré, que le sentiment d’être soi-même n’abandonne jamais la pensée il nous arrivent quelque fois de s'interroger sur l’unité et sur l’identité de notre être.
1) Nous ne sommes que nous-même
À partir du moment où l'on pense, où l'on réfléchit, se questionne, on peut dire que l’on maîtrise ce que l’on fait et donc que nous sommes maître de soi. En tant qu’individu d’une société, on doit respecter des droits et des devoirs, et c’est par ce biais-là, que l’on est le simple reflet de l’image que l’on représente. La conscience de ce que l’on fait et du monde qui nous entoure est le constat immédiat que l’on peut faire.
D’après Descartes, nous avons le droit de douter de tout ce qu’on l’on veut mais pas de ce qu’on peut penser par notre esprit et par notre opération de la conscience : « Je pense donc je suis ». Être « moi », c’est posséder en son esprit l’état ultime de la personne dont on est, l’esprit mené par la conscience de l’individu en tant que tel. On aura beau avoir tort mais tant que notre pensée ne se subjuguera pas, il nous sera dans l’impossibilité de dire que nous ne sommes pas nous-même, qu’on est autre. La conscience contribue à établir ce lien avec notre identité et permet de se rassurer qu’on est bien « soi » et personne d’autre.
2) Possibilité de ne pas être soi-même
Nous ne sommes pas tous identiques car il existe une diversité humaine très développée.
Platon dit que chaque homme possède une essence, une qualité fondamentale qui crée la différence entre tous les êtres humains. Les êtres humains cherchent à être différents des autres; Nous avons tous menti à autrui consciencieusement, mais il est encre plus grave de se
mentir à soi-même d'après Kant. Il dit même que mentir c'est « renoncer à sa
personnalité » et même renoncer à être homme. Car mentir au autre c'est d'abord se mentir à soit même, c'est atteindre sa dignité.« la façon de s’y livrer est pourtant, de par sa simple forme, un crime de l’homme envers sa propre personne et une indignité qui doit le rendre méprisable à ses propres yeux » Pour Kant être soit même c'est avant tout ne pas mentir à
fin de respecter notre dignité et celle des autres.
3) Être différent pour être soi-même
En ce qui concerne l'influence que autrui à sur nous, on sait qu'être soi-même n'est pas un état figé, mais plutôt un mouvement en perpétuelle amélioration. Amélioration que l'on peut noter lorsqu'un individu tente d'atténuer ses défauts ou lorsqu'il réussit à mieux se contrôler. De plus, il faut bien qu’il y ait un regard extérieur pour savoir ce qui est à améliorer chez nous. Car en effet, si l’on ne se contentait que de notre avis ou regard personnel, on risquerait fort de se tromper au niveau de notre jugement, on s'éloignerait peu à peu de la réalité de notre condition. Puisqu'on aurait plutôt tendance à relever les détails principalement positifs nous composant, ou encore à minimiser ou aggraver tel ou tel défaut ou telle erreur. Peut-on en effet se mésestimer ? Est-ce mieux que de se surestimer ?
Conclusion :
Pour être soi-même, nous avons un besoin d’affirmation de « soi » au travers d’une identité révélatrice de notre personnage. La conscience est la clé de notre univers, de notre pensée. Cependant de nombreuses expériences contribuent à démontrer que nous avons plusieurs portraits suivant ce que l’on fait. Être soi-même c’est agir en fonction de tous ces changement, mais c’est aussi garder une unité autour de « nous », qu’on peut retrouver dans n’importe quelle expérience, sans qu’aucune forme déstabilisante ne vienne bouleverser cela. « Je » ne peut pas être autre chose que « je » comme l’affirmait Rimbaud « Être soi-même » est ainsi le chemin de la vie à suivre...
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