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Bonsoir pour mardi j'ai une autobiographie que je dois inventé je l'est commencé mais je suis bloqué pourriez vous m'aider svp? entre temps il faut que je parle de la 1ere guerre mondiale dire ce que mes parents ont vécus pendant cette guerre (je rappelle juste que ce ne sont pas mes vrai parents) et aujourd'hui il faut que j'ai 60ans. En gros je dois racontés des choses sur ma familles, mon enfance. merci et voila le début de mon texte:

Je m'appelle Bianca Claßen. Mon prénom est féminin, qui vient du germain blank, qui veut dire « clair » ou « brillant ». Cet adjectif a également donné naissance au terme français « blanc ». Ce prénom a rencontré un fort succès en Europe et au Moyen-âge. Ma fête est le 3 octobre d'ailleurs, mes parents avaient tendance à l'oublier.
Je suis née le 8 septembre 1957 à Reading, en Pennsylvanie parce qu'à ce moment là, mes parents étaient en vacances là-bas mais je suis d'origine allemande.
Quand j'ouvris les yeux je vis la personne qui m'a portée 12 mois dans son ventre, ma mère.
Sur cette photo j'ai 1ans. Mon visage étais assez fin, j'ai les yeux bleu et mes cheveux étaient blond, bouclés.
Mon frère Julian, est né un an et demi plus tard à Cologne, en Allemagne. Mon père, Thomas Claßen était un conseiller financier et ma mère Andréa, était femme au foyer et avait travailler comme directrice de marketing des fonds mutuels.
J'ai vécus dans la richesse et aussi dans la tristesse.
L'événement qui ma marquée le plus dans mon enfance étais ma première passion «La monte à l'anglaise». A neuf mois, ma mère m'avais mise en selle pour la première fois et par la suite, j'ai participé à des concours hippiques. J'ai passé mes vacances d'été dans une maison à Stone Harbor, dans le New Jersey.


Sagot :

Bonsoir, Tu pourrais ajouter malheureusement notre joie de vivre a été interrompue par la guerre et se fût les larmes de mes parents,la peur de mourir. Rien n'était plus identique tout était crainte. Juste le fait de sortir dehors,on était en permanence à se méfier de tout et de rien. Que pouvons nous y faire pour arrêter de voir le sang coule devant nous. Jour après jour,on attendait les cris des femmes qui venaient de perdre un fils ou un mari......