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Im87
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BONJOUR,je n arrive pas a faire la reecriture 1. Réécrivez ce texte en le passant à la première personne du pluriel et en imaginant que ce sont deux jeunes filles qui raconte l'histoire.
Unique objet d'amour. Tendre souci de mes parents, je dormais pour ton mal, agité par de mauvais rêves. Je pleure aussi ton malin pétante, j'ignorais à qui s'adresser c'est l'arme qui traversaient mon oreiller et se perdaient dans la nuit. Honteux sans en connaître la cause, souvent coupable sans raison je retardais le moment de sombrer dans le sommeil.
2. Réécrivez ce texte en imaginant que le narrateur savante deux frères.
De ce jours j'ai marché dans son ombre, flotté dans son empreinte comme dans un costume trop large. Il m'accompagnait au square, à l'école, je parlais de lui à tous ceux que je rencontrais. À la maison, j'avais même inventé un jeu qui me permettait de lui faire partager notre existence je demandais qu'on attende avant de passer à table, qu'on le serve avant moi, que l'on prépare ses affaires avant les miennes au moment du départ en vacances. SVP merci c est pour de main et c est note


Sagot :

1.Unique objet d'amour. Tendre souci de nos parents, nous dormions pour ton mal, agitées par de mauvais rêves. nous pleurions aussi ton malin pétante, nous ignorions à qui s'adresser c'est l'arme qui traversaient notre oreiller et se perdaient dans la nuit. Honteuses sans en connaître la cause, souvent coupables sans raison nous retardions le moment de sombrer dans le sommeil.

je te laisse faire le 2eme seul bonne chance


1)   Unique objet d'amour. Tendre souci de nos parents, nous dormions pour ton mal, agitées par de mauvais rêves. Nous pleurons aussi ton malin pétante, nous ignorions à qui s'adresser c'est l'arme qui traversaient nos oreillers et se perdaient dans la nuit. Honteuses sans en connaître la cause, souvent coupable sans raison nous retardions le moment de sombrer dans le sommeil.
2)   
De ce jours ils marchés dans son ombre, flottés dans leurs empreintes comme dans un costume trop large. Ils m'accompagnaient au square, à l'école, ils parlaient de lui à tous ceux qu'ils rencontraient. À la maison, ils avaient même inventé un jeu qui leurs permettaient de lui faire partager notre existence ils demandaient qu'on attende avant de passer à table, qu'on le serve avant eux, que l'on prépare ses affaires avant les leurs au moment du départ en vacances.