L'encre, c'est de la bile noire. La mélancolie, à travers les
âges, guide et inspire l'écrivain. Qu'on la considère comme une maladie —
une folie même, un péché ou une volupté, elle accompagne toujours le
réflexe d'écrire. » Source : le texte cité a été publié, sans
signature, dans le Magazine littéraire (juillet-août 1987). Votre
expérience de la littérature vous incite-t-elle à souscrire à cette
opinion ? Sans vous limiter à une période donnée, vous exposerez votre
point de vue dans un développement ordonné appuyé sur des exemples
précis.