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Bonjour, est ce que quelqu'un pourrait me corriger ma rédaction ? merci d'avance



Les mains dans les poches, les pieds traînant sur le chemin de pierres trempées par l'averse d'automne qui s'était installé dans la nuit, je me dirigeais d'un pas lasse vers ce qui serai peut être mon futur lieux de travail. L'allée d'arbres m’accompagnait pendant ma traversée déposant en ronde aérienne des feuilles aux couleurs automnales sur le sol. Je luttais en vint contre les gouttes de pluie s'engouffrant dans mon visage, la direction du vent n'était pas en ma faveur et baisser la tête ne m'apportait aucune amélioration : quelle tête allais-je avoir pour mon entretient ?

Je jetais un coup d’œil furtif à mon poignet pour y regarder l'heure, je ne m'étais pas levé de bonne heure et redoutais même fortement la possibilité d'arriver en retard. Ma montre affichait sept heures cinquante, je n'avais plus que dix minutes devant moi...sachant qu'il m'en fallait quinze pour y aller.

L'entreprise où j'avais postulé avait une certaine renommé dans la région, la qualité du travail venant évidemment des employés choisis très sélectivement pour leur capacité efficace. Je fut prise de panique, si j'arrivai en retard je devrai sûrement tirer une croix sur ma carrière là bas. A cette pensée

je frissonna d'effroi, il fallait absolument que je me dépêche. Je me mis à courir le plus vite possible, je sentais les éclaboussement d'eau glacé sur mes jambes, je ne faisais plus vraiment attention à ou je mettais les pieds à cause de la panique qui avait pris possession de mon corps.Terrible erreur de ma part, ce qui devait arriver arriva, le chemin trempé, je glissa sur une des pierre formant l'allée légèrement plus élevée que les autres. Je tenta de me rattraper, mais les talons que j'avais mis pour l'occasion n'était pas vraiment les chaussures adapter pour cette manœuvre. Je ferma mes yeux m’attendant à bientôt sentir le contact douloureux et glaciale du sol, mais rien.


Quand je rouvris les yeux, la première chose que je vit fut les yeux châtains d'un inconnu. Puis après, ce fut un monde figé qui s'offrit à moi. Le temps semblait s'être arrêter, je n voyais clairement les gouttes tombants du ciel en suspend dans l'air ; je voyais clairement les feuilles stoppait dans leurs valse folle que leurs faisait faire le vent ; je voyais clairement les passants au pas hâté immobile tel des statues grecque en pleine action. Et...je voyais clairement, je voyais très clairement ses yeux plongé dans les mien. Ses yeux d'une couleur si banale était sûrement les plus beaux yeux que je n'ai jamais vu. Ils te donnaient et l'envie irrésistible de se plonger dedans et de se noyer dans cet océan noisette. J'ignorais d'ailleurs pourquoi ces yeux attiraient autant mon attention, et trouvais cela moi même assez curieux. Je me mis à dévorer du regard sous toutes les coutures ce visage figé,

je ne pouvais détourner les yeux tant mon esprit était happé par ma contemplation. J'observais avec grande attention les courbes de son visage, ses yeux en amandes, ses lèvres fine, ses pommettes rosie par le froid...tout. J'arrivais même à oublier l'étrange phénomène qui m'arrivait, puis je me rappela que juste avant je manquais de tomber. Parmi toutes les personnes c'eut était la seule qui eut la bonté de me venir en aide, c'était une bonne personne et lui était reconnaissante de son geste. Soudain, un éclair traversa le ciel et un bruit strident retentit, c'était l'orage.


Les gouttes jusque là en suspend s'écrasèrent au sol, les feuilles virevoltèrent dans l'air, les passants

reprirent leurs marche rapide. Le jeune homme me tira par le bras me remettant sur mes deux pieds, il me dit quelques phrases me demandant si ça allait que je répondit par un oui à peine audible que je réussi à sortir de ma bouche avec beaucoup de mal. Il repartit aussi vite qu'il était venue, je regardais jusqu'à la dernière seconde sa silhouette s'effacer dans la foule avant de disparaître. Si le moments ou nos regards ce sont croisé une éternité, son départ n'en a duré que quelques secondes.

J'étais toujours là, à fixer dans le vide la direction qu'avait prit plus tôt l'inconnu. La peau brûlante, je sentais mon cœur battre sous ma peau, j'avais l’impression que mon sang était en ébullition. Je me sentis défaillir sous ces sensation forte qui m'envahissait, mes jambes à vrai dire ne me soutenaient à peine. Je ne sais pas si cet orage était réel ou si je l'avais imaginé, mais je suis sur que j'avais eu un coup de foudre pour cet inconnu.


Sagot :

Bonsoir,

Les mains dans les poches, les pieds traînant sur le chemin de pierres trempées par l'averse d'automne qui s'était installée dans la nuit, je me dirigeais d'un pas, lasse, vers ce qui serait peut être mon futur lieu de travail. L'allée d'arbres m’accompagnait pendant ma traversée déposant en ronde aérienne des feuilles aux couleurs automnales sur le sol. Je luttais en vain contre les gouttes de pluie s'engouffrant sur mon visage, la direction du vent n'était pas en ma faveur et baisser la tête ne m'apportait aucune amélioration : quelle tête allais-je avoir pour mon entretien ?

Je jetais un coup d’œil furtif à mon poignet pour y regarder l'heure, je ne m'étais pas levée de bonne heure et redoutais même fortement la possibilité d'arriver en retard. Ma montre affichait sept heures cinquante, je n'avais plus que dix minutes devant moi...sachant qu'il m'en fallait quinze pour y aller.

L'entreprise où j'avais postulé avait une certaine renommée dans la région, la qualité du travail venant évidemment des employés choisis très sélectivement pour leur capacité efficace. Je fus prise de panique, si j'arrivais en retard je devrais sûrement tirer une croix sur ma carrière là bas.

A cette penséeje frissonnai d'effroi, il fallait absolument que je me dépêche. Je me mis à courir le plus vite possible, je sentais les éclaboussures d'eau glacée sur mes jambes, je ne faisais plus vraiment attention là où je mettais les pieds à cause de la panique qui avait pris possession de mon corps.Terrible erreur de ma part, ce qui devait arriver arriva, le chemin trempé, je glissai sur une des pierres formant l'allée légèrement plus élevée que les autres. Je tentai de me rattraper, mais les talons que j'avais mis pour l'occasion n'étaient pas vraiment adaptés pour cette manœuvre. Je fermai mes yeux m’attendant à bientôt sentir le contact douloureux et glacial du sol, mais rien.


Quand je rouvris les yeux, la première chose que je vis, fut les yeux marron d'un inconnu. Puis après, ce fut un monde figé qui s'offrit à moi. Le temps semblait s'être arrêté, je ne voyais clairement les gouttes tombant du ciel en suspens dans l'air ; je voyais clairement les feuilles stopper dans leurs valse folle que leur faisait faire le vent ; je voyais clairement les passants au pas hâté immobiles tellesl des statues grecques en pleine action. Et...je voyais clairement, je voyais très clairement ses yeux plongés dans les miens. Ses yeux d'une couleur si banale étaient sûrement les plus beaux yeux que je n'avais jamais vus. Ils donnaient l'envie irrésistible de se plonger dedans et de se noyer dans cet océan noisette. J'ignorais d'ailleurs pourquoi ces yeux attiraient autant mon attention, et trouvais cela moi-même assez curieux. Je me mis à dévorer du regard sous toutes les coutures ce visage figé,

je ne pouvais détourner les yeux tant mon esprit était happé par ma contemplation. J'observais avec grande attention les courbes de son visage, ses yeux en amandes, ses lèvres fines, ses pommettes rosies par le froid...tout. J'arrivais même à oublier l'étrange phénomène qui m'arrivait, puis je me rappelai que juste avant je manquais de tomber. Parmi toutes les personnes c'était la seule qui eut la bonté de me venir en aide, c'était une bonne personne et je lui étais reconnaissante de son geste. Soudain, un éclair traversa le ciel et un bruit strident retentit, c'était l'orage.


Les gouttes jusque là en suspens s'écrasèrent au sol, les feuilles virevoltèrent dans l'air, les passants reprirent leurs marche rapide. Le jeune homme me tira par le bras me remettant sur mes deux pieds, il me dit quelques phrases me demandant si ça allait que je répondis par un oui à peine audible que je réussis à sortir de ma bouche avec beaucoup de mal. Il repartit aussi vite qu'il était venu, je regardais jusqu'à la dernière seconde sa silhouette s'effacer dans la foule avant de disparaître. Si le moment où nos regards se sont croisés a duré une éternité, son départ n'aura duré que quelques secondes.

J'étais toujours là, à fixer dans le vide la direction qu'avait prit plus tôt l'inconnu. La peau brûlante, je sentais mon cœur battre sous ma peau, j'avais l’impression que mon sang était en ébullition. Je me sentis défaillir sous ces sensations fortes qui m'envahissaient, mes jambes à vrai dire ne me soutenaient qu'à peine. Je ne savais pas si cet orage était réel ou si je l'avais imaginé, mais je suis sûre que j'avais eu un coup de foudre pour cet inconnu.
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