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Sagot :
Bonjour,
A mon avis tu devrais faire deux parties au moins :
- Montrer d'abord que la sagesse impose de réfléchir avant d'agir, afin d'éviter les dangers, les erreurs. C'est la voix qu'on entend habituellement, celle de la raison contre l'impulsivité.
- Montrer ensuite que la réflexion peut nous immobiliser. On peut manquer de courage à trop réfléchir. Ici ce serait le cas : Antigone n'a pas le choix, elle doit enterrer son frère, son cœur et son esprit de justice le lui ordonne. si elle réfléchit trop, elle pensera forcément à la mort qui l'attend. Cela ne servirait à rien.
Peut-être aussi que lorsque l'on réfléchit trop, on n'agit pas comme on l'aurait fait spontanément, tel que notre cœur, notre instinct nous le recommande. On devient alors en partie étranger à soi-même, et on renonce peut-être à une part de soi (celle de la révolte spontanée contre l'injustice).
Si tu veux tu peux faire une dernière partie de synthèse sur le fait de réfléchir avant d'agir pour éviter la violence, l'animalité d'une réaction spontanée, qui n'est pas la même chose que l'instinct salvateur d'agir contre la violence extérieure, spontanément, comme une nécessité quitte à y laisser sa peau. L'héroïsme exige peut-être ce dépassement de soi, cet oubli de la raison pour lutter contre la tyrannie.
Bien entendu, à développer, organiser, faire une introduction, une conclusion. Donner si possible des exemples littéraires (d'autres tragédies) ou historiques (la Résistance, la lutte contre l'apartheid...)
A mon avis tu devrais faire deux parties au moins :
- Montrer d'abord que la sagesse impose de réfléchir avant d'agir, afin d'éviter les dangers, les erreurs. C'est la voix qu'on entend habituellement, celle de la raison contre l'impulsivité.
- Montrer ensuite que la réflexion peut nous immobiliser. On peut manquer de courage à trop réfléchir. Ici ce serait le cas : Antigone n'a pas le choix, elle doit enterrer son frère, son cœur et son esprit de justice le lui ordonne. si elle réfléchit trop, elle pensera forcément à la mort qui l'attend. Cela ne servirait à rien.
Peut-être aussi que lorsque l'on réfléchit trop, on n'agit pas comme on l'aurait fait spontanément, tel que notre cœur, notre instinct nous le recommande. On devient alors en partie étranger à soi-même, et on renonce peut-être à une part de soi (celle de la révolte spontanée contre l'injustice).
Si tu veux tu peux faire une dernière partie de synthèse sur le fait de réfléchir avant d'agir pour éviter la violence, l'animalité d'une réaction spontanée, qui n'est pas la même chose que l'instinct salvateur d'agir contre la violence extérieure, spontanément, comme une nécessité quitte à y laisser sa peau. L'héroïsme exige peut-être ce dépassement de soi, cet oubli de la raison pour lutter contre la tyrannie.
Bien entendu, à développer, organiser, faire une introduction, une conclusion. Donner si possible des exemples littéraires (d'autres tragédies) ou historiques (la Résistance, la lutte contre l'apartheid...)
Bonjour, Tout dépendra de la personne et du fait en question. Parfois on réagit à la va vite et malheureusement c'est pire que mieux. Évidemment, cela arrive de réagir promptement car on a pas le choix, une réaction vitale ou mentale. Comme l'exemple de Antigone, pour son frère.....
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