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Sagot :
(1) Lorsqu'il s'assit, les conjurés l'entourèrent, sous prétexte de rendre leurs devoirs. Aussitôt Tillius Cimber, qui s'était chargé du premier rôle, s'approcha plus près comme pour lui demander une faveur; et César se refusant à l'entendre et lui faisant signe de remettre sa demande à un autre temps, il le saisit par la toge aux deux épaules. "C'est vraiment fort," s'écrie César; l'un des Casca le blesse, un peu au-dessous de la gorge, alors qu'il se retourne.
(2) César saisit le bras de Casca et le transperça avec son poinçon, puis il tenta de s'échapper ; mais une autre blessure l'arrêta ; voyant des poignards levés sur lui de tous côtés, il se couvrit la tête de sa toge, et, de la main gauche, il en rabattit simultanément les plis sur ses jambes, afin de tomber plus honorablement, la partie inférieure de son corps étant aussi couverte.
(3) Et il fut ainsi percé de vingt-trois coups: au premier seulement, il poussa un gémissement, sans dire une parole. Toutefois, on a dit que, voyant se précipiter contre lui Marcus Brutus, il dit : kai su teknon (Toi aussi mon fils). Quand il fut mort, tout le monde s'enfuit, et il resta quelque temps étendu à terre jusqu’à ce que trois esclaves le ramènent chez lui, couché dans une litière, un bras pendant.
(4) De tant de blessures, de l'avis du médecin Antistius, seule fut reconnue mortelle la seconde,, qu'il avait reçue à la poitrine.
(5) L'intention des conjurés était de traîner son cadavre jusqu'auTibre, de mettre ses biens en vente, et d'annuler ses actes: mais par peur du consul Marc-Antoine et de Lépide, maître de la cavalerie, ils renoncèrent.
1) A la demande de Lucius Pison, son beau-père, son testament est ouvert, et lu publiquement dans la maison d'Antoine. César l'avait rédigé aux dernières ides de septembre, dans sa propriété de Lavicum, et l'avait confié à la Grande Vestale.
(2) Selon Quintus Tubéron, de son premier consulat jusqu'au commencement de la guerre civile, c'était Cn. Pompée son héritier désigné, et il avait lu cette disposition à ses soldats réunis en assemblée.
(3) Mais dans son testament le plus récent, il instituait trois héritiers, les petits-fils de ses soeurs : Gaius Octavius pour les trois quarts, et Lucius Pinarius avec Quintus Pedius pour l'autre quart. Par une dernière disposition, il adoptait Gaius Octavius et lui donnait son nom. Il désignait pour tuteurs de son fils, pour le cas où il lui en naîtrait un, plusieurs de ses assassins. Decimus Brutus était aussi inscrit parmi les héritiers de second rang.
(4) Au peuple il léguait ses jardins près du Tibre, et trois cents sesterces par tête
(2) César saisit le bras de Casca et le transperça avec son poinçon, puis il tenta de s'échapper ; mais une autre blessure l'arrêta ; voyant des poignards levés sur lui de tous côtés, il se couvrit la tête de sa toge, et, de la main gauche, il en rabattit simultanément les plis sur ses jambes, afin de tomber plus honorablement, la partie inférieure de son corps étant aussi couverte.
(3) Et il fut ainsi percé de vingt-trois coups: au premier seulement, il poussa un gémissement, sans dire une parole. Toutefois, on a dit que, voyant se précipiter contre lui Marcus Brutus, il dit : kai su teknon (Toi aussi mon fils). Quand il fut mort, tout le monde s'enfuit, et il resta quelque temps étendu à terre jusqu’à ce que trois esclaves le ramènent chez lui, couché dans une litière, un bras pendant.
(4) De tant de blessures, de l'avis du médecin Antistius, seule fut reconnue mortelle la seconde,, qu'il avait reçue à la poitrine.
(5) L'intention des conjurés était de traîner son cadavre jusqu'auTibre, de mettre ses biens en vente, et d'annuler ses actes: mais par peur du consul Marc-Antoine et de Lépide, maître de la cavalerie, ils renoncèrent.
1) A la demande de Lucius Pison, son beau-père, son testament est ouvert, et lu publiquement dans la maison d'Antoine. César l'avait rédigé aux dernières ides de septembre, dans sa propriété de Lavicum, et l'avait confié à la Grande Vestale.
(2) Selon Quintus Tubéron, de son premier consulat jusqu'au commencement de la guerre civile, c'était Cn. Pompée son héritier désigné, et il avait lu cette disposition à ses soldats réunis en assemblée.
(3) Mais dans son testament le plus récent, il instituait trois héritiers, les petits-fils de ses soeurs : Gaius Octavius pour les trois quarts, et Lucius Pinarius avec Quintus Pedius pour l'autre quart. Par une dernière disposition, il adoptait Gaius Octavius et lui donnait son nom. Il désignait pour tuteurs de son fils, pour le cas où il lui en naîtrait un, plusieurs de ses assassins. Decimus Brutus était aussi inscrit parmi les héritiers de second rang.
(4) Au peuple il léguait ses jardins près du Tibre, et trois cents sesterces par tête
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