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Sagot :
Bonjour,
De passage à Tenochtitlan un jeune Aztèque écrit à sa sœur.
Ma chère Xochitl,
J'ai entendu raconter la prise de notre capitale par nos ennemis, les Blancs, ceux qui s'appellent les Espagnols.
C'est avec tristesse que j'ai vu les dégâts causés par les envahisseurs, ils ont déjà détruit une partie de nos bâtiments, les temples en premier.
Ils ont emprisonné notre empereur, j'ai entendu certains qui affirmaient qu'il était mort mais je n'en suis pas sûr.
Les étrangers amènent des hommes qui ont de grandes tuniques, ils détruisent les statues de nos dieux et veulent que nous adorions un dieu qui nous est inconnu.
Les Espagnols appellent désormais notre ville México, en parcourant ce qui reste des rues, j'avais l'impression de n'être plus chez nous, des soldats avec des carapaces de fer patrouillent dans les avenues, ils maltraitent les habitants, parfois ils les volent…ils sont assoiffés d'or.
Je ne pourrai plus vivre dans cette cité qui a perdu son âme.
Je crains que de nouveaux malheurs s'abattent encore sur notre peuple.
J'espère te rejoindre bientôt.
Prends bien soin de toi.
Ton frère
Acamapichtli. ".
J'espère avoir pu t'aider.
De passage à Tenochtitlan un jeune Aztèque écrit à sa sœur.
Ma chère Xochitl,
J'ai entendu raconter la prise de notre capitale par nos ennemis, les Blancs, ceux qui s'appellent les Espagnols.
C'est avec tristesse que j'ai vu les dégâts causés par les envahisseurs, ils ont déjà détruit une partie de nos bâtiments, les temples en premier.
Ils ont emprisonné notre empereur, j'ai entendu certains qui affirmaient qu'il était mort mais je n'en suis pas sûr.
Les étrangers amènent des hommes qui ont de grandes tuniques, ils détruisent les statues de nos dieux et veulent que nous adorions un dieu qui nous est inconnu.
Les Espagnols appellent désormais notre ville México, en parcourant ce qui reste des rues, j'avais l'impression de n'être plus chez nous, des soldats avec des carapaces de fer patrouillent dans les avenues, ils maltraitent les habitants, parfois ils les volent…ils sont assoiffés d'or.
Je ne pourrai plus vivre dans cette cité qui a perdu son âme.
Je crains que de nouveaux malheurs s'abattent encore sur notre peuple.
J'espère te rejoindre bientôt.
Prends bien soin de toi.
Ton frère
Acamapichtli. ".
J'espère avoir pu t'aider.
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