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Sagot :
Cette pièce est bien conçue comme une farce : chacun des trois actes suit le même schéma, répondant au grand ressort du genre : tel est pris qui croyait prendre. George Dandin reçoit d’abord les confidences du gros balourd de Lubin, mais la plainte qu’il formule auprès de son beau-père, M. de Sotenville, se heurte aux dénégations évidemment mensongères de Clitandre, et le pauvre homme doit présenter des excuses à l’amant de sa femme. Au second acte, toujours renseigné par Lubin, le mari vient dire à ses beaux-parents que Clitandre est allé rendre visite à Angélique, mais celle-ci, payant d’audace, feint une vertueuse colère contre Clitandre, et George Dandin se voit sommé de présenter des excuses à son irréprochable épouse. Quant au IIIe acte, il reprend exactement le même mouvement, également marqué par un retournement se situation, lorsque le malheureux, emporté par sa curiosité, sort de chez lui, une chandelle à la main, alors qu’Angélique et sa suivante sont tapies des deux côtés de la porte. Pour finir, le « mari confondu » sera contraint de se mettre à genoux devant sa femme pour lui demander pardon.
Ce qui autrement c'est passé comme une farce pour que tout le monde rigole de tout son non plus le prendre au sérieux..
Ce qui autrement c'est passé comme une farce pour que tout le monde rigole de tout son non plus le prendre au sérieux..
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