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Sagot :
Charlot Tuvache quitte donc la triste chaumière, laissant derrière lui les lamentations dont ses parents l'agonissent. En passant devant la maison des Vallin, il entend le bruit des réjouissances qui en rajoutent à sa frustration. Les larmes aux yeux, il emprunte le petit chemin boueux qui remonte à la station et commence à traverser les bois. Il se rend compte qu'il n'a pas de balluchon ni un sou en poche. De désespoir et de fatigue, après une heure de marche, il s'effondre au pied d'un arbre et se met à pleurer.
Lorsqu'il est aveuglé par les feux d'une belle voiture. La voiture s'arrête et les occupants descendent : madame d'Hubières et son fils Jean viennent auprès de lui pour lui demander si tout va bien. Ils se rendent compte de la tristesse du garçon et demandent ce qu'ils pourraient faire pour lui. Ils ne l'ont pas reconnu mais lui, Charlot, sait qui ils sont. Il leur demande de pouvoir les accompagner jusqu'à la station.
Dans la voiture, madame d'Hubières lui demande sa destination précise à cette heure tardive. Comme il n'en a pas, il ne ment pas et décide de raconter toute l'histoire.
Jean est touché par ce coup du sort qui l'a favorisé tandis que le petit Tuvache était resté dans le crottin. Madame d'Hubières est émue par l'histoire et décide d'inviter Charlot à passer la nuit.
Le lendemain, tous se concertent mais Charlot ne tient pas à retourner chez ses parents. Madame d'Hubières se dit qu'on ne peut réécrire l'histoire mais que l'on peut y remédier. Elle propose à Charlot d'aller tenir une de ses métairies en Bretagne; il y aurait gîte, couvert et salaire.
Depuis ce jour, Charlot Tuvache a une marraine qui veille sur lui...
Lorsqu'il est aveuglé par les feux d'une belle voiture. La voiture s'arrête et les occupants descendent : madame d'Hubières et son fils Jean viennent auprès de lui pour lui demander si tout va bien. Ils se rendent compte de la tristesse du garçon et demandent ce qu'ils pourraient faire pour lui. Ils ne l'ont pas reconnu mais lui, Charlot, sait qui ils sont. Il leur demande de pouvoir les accompagner jusqu'à la station.
Dans la voiture, madame d'Hubières lui demande sa destination précise à cette heure tardive. Comme il n'en a pas, il ne ment pas et décide de raconter toute l'histoire.
Jean est touché par ce coup du sort qui l'a favorisé tandis que le petit Tuvache était resté dans le crottin. Madame d'Hubières est émue par l'histoire et décide d'inviter Charlot à passer la nuit.
Le lendemain, tous se concertent mais Charlot ne tient pas à retourner chez ses parents. Madame d'Hubières se dit qu'on ne peut réécrire l'histoire mais que l'on peut y remédier. Elle propose à Charlot d'aller tenir une de ses métairies en Bretagne; il y aurait gîte, couvert et salaire.
Depuis ce jour, Charlot Tuvache a une marraine qui veille sur lui...
Charlot suffocant de rage erra longtemps
sans trouver de gite, dans son désespoir, il en voulait surtout a ses
parents de se montrer si possessifs, si égoïstes,
de le condamner à endurer tant de pauvreté et de misère. Des images des nuits
de faim déferlèrent dans son esprit,
alors que l autre famille, les voisins
vivaient aisément et magnaient à
leur faim. Fatigué, il s’adossait a un arbre et s’assoupit un peu. Quand, il se réveilla, il
faisait déjà nuit. Il se sentit soudain seul et abandonné. C’est a
ce moment qu’il éprouva le désir de voir
l autre, l autre qui lui avait « volé « sa vie ,n’est –ce pas lui qui aurait
pu être à sa place ,ne serait pas a l heure qu’il est un garçon
riche avec une voiture et une montre d’or . Une immense tristesse l’envahit .Il
rebroussa chemin. Quand sa mère le vit revenir, il éclata en sanglot. Le lendemain, il rencontra JEAN ; Charlot s attendait à voir un jeune homme débordant
de joie, rayonnant de bonheur. C’est
vrai que le revenu était habillé élégamment
mais il une espèce de tristesse se
lisait sur son beau visage. Ils se saluèrent .Alors, Charlot, voulait soulager son cœur de tant de rancœur accumulé pendant des années de souffrance, il lui dit d une voix
tremblante:
« tu sais toi, c est moi qui aurait pu être a ta place, c est a ma famille qu’on a fait la demande , mais par égoïsme ,ils ont refusé.
« Ah, c est toi l autre enfant, dit JEAN ? , combien je t’enviais.
Charlot fut étonné
-M’envier, moi, pourquoi ?
-parce que, tu as grandi parmi les tiens, tes parents t’ont préféré à l’argent, pour eux tu étais un bien plus précieux que toutes les richesses de la terre, alors que les miens ont été si cupides qu’ils m’ont jeté a la première venue. Durant toutes ces années, j étais inexistant à leur yeux, la seule chose qui comptait pour eux, c’était la pension qu’ils recevaient à la fin de chaque mois.
Depuis qu’on m avait révélé cette horrible vérité, je ne dors plus, quelque chose en moi s’est éteinte. Ce se sont mes parents qui se sont montrés égoïstes, ils m ont déraciné, j étais comme un arbre sans racine. Tu ne peux pas imaginer de vivre avec le sentiment que vos parents t’ont vendu pour l argent. Moi, je donnerai tout, si on me débarrassera de ce sentiment qui me tue chaque jour, que je dois le porter comme une plaie pour toujours .
Charlot fut apitoyé, il regretta aussitôt son ingratitude envers ses parents et revint pour veiller sur eux .
« tu sais toi, c est moi qui aurait pu être a ta place, c est a ma famille qu’on a fait la demande , mais par égoïsme ,ils ont refusé.
« Ah, c est toi l autre enfant, dit JEAN ? , combien je t’enviais.
Charlot fut étonné
-M’envier, moi, pourquoi ?
-parce que, tu as grandi parmi les tiens, tes parents t’ont préféré à l’argent, pour eux tu étais un bien plus précieux que toutes les richesses de la terre, alors que les miens ont été si cupides qu’ils m’ont jeté a la première venue. Durant toutes ces années, j étais inexistant à leur yeux, la seule chose qui comptait pour eux, c’était la pension qu’ils recevaient à la fin de chaque mois.
Depuis qu’on m avait révélé cette horrible vérité, je ne dors plus, quelque chose en moi s’est éteinte. Ce se sont mes parents qui se sont montrés égoïstes, ils m ont déraciné, j étais comme un arbre sans racine. Tu ne peux pas imaginer de vivre avec le sentiment que vos parents t’ont vendu pour l argent. Moi, je donnerai tout, si on me débarrassera de ce sentiment qui me tue chaque jour, que je dois le porter comme une plaie pour toujours .
Charlot fut apitoyé, il regretta aussitôt son ingratitude envers ses parents et revint pour veiller sur eux .
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