Sans savoir que faire, je tenais dans ma main le portefeuille. Il m’échappa et s’ouvrit . Il en tomba des portraits et des lettres [...] C’était les portraits d’une femme et d’une petite fille, de menues photographies d’amateur prises devant un mur en lierre. À côté d’elles il y avait des lettres. Je les sortis et j’essayai de les lire. Je ne comprenais pas la plupart des choses ; c’était difficile à déchiffrer et je ne connaissais qu’un peu de français. Mais chaque mot que je traduisais me
pénétraient, comme un coup de feu dans la
poitrine, comme un coup de poignard au cœur.