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Sagot :
bonjour
Me revoilà ! J'ai pu connaître la nouvelle condition de vie horrible et retirer des informations qui nous ont été données par les gardes.
Tout d'abord je me trouve dans un trou comme une grotte mais où ne se trouve aucune issue pour s'enfuir, encerclé d'hommes, femmes et enfants.
Tous les matins ou nous donne par un mini trou comme une boîte à mettre un morceau de pain suivi d'un bol d'eau pour chaque enfant en essayant de survivre avec ça jusqu'au lendemain matin. Pour faire nos besoins il n'y a rien aucun WC c'est-à-dire que nous sommes obligés de faire nos besoins sur nous ce qui est écoeurant!
J'ai eu de la chance de n'avoir pas perdu mes parents contrairement à certains enfants. Les parents essaient de cacher leurs sentiments de souffrance et peur pour ne pas nous faire plus paniquer.
Tous les soirs je pleure de peur et de tristesse et je rêve que d'une seule chose sortir de ce cauchemar. Cela fait un mois que personne n'a osé la parole entre parents inconnus et enfants pour cause de nous avoir traités comme des chiens en nous enfermant dans un minable trou sans liberté. Pour savoir s'il fait jour ou nuit il suffit de regarder par la mini vitre à barreaux qui est située tout au dessus de nous et que personne ne peut à peine toucher. Cette vitre est notre seule source de lumière. Heureusement que moi j'ai la chance décide ? dans mon journal pour pouvoir dégager ce que je ressens et pouvoir tout dire. Pour conclure mon quotidien est totalement terrible, on a envie presque de mourir, on n'a plus de vie ...
Bonjour
Me revoilà ! J'ai pu en savoir un peu plus sur notre nouvelle condition de vie, atroce, en glanant des informations auprès des gardes.
Nous nous trouvons dans un trou, une espèce de grotte, hommes, femmes et enfants mélangés, sans aucune issue pour s'enfuir.
Tous les matins, on nous donne par enfant, pour seule nourriture jusqu'au lendemain, un quignon de pain et un bol d'eau par une petite ouverture.
Pour faire nos besoins, il n'y a aucune commodité. Nous faisons où nous pouvons, parfois sur nous, ce qui devient vite écœurant et insupportable dans un endroit aussi réduit.
J'ai cette immense chance de ne pas avoir perdu mes parents contrairement à d'autres enfants. Les adultes essaient de cacher leurs souffrances et leurs peurs pour ne pas nous faire paniquer davantage.
Tous les soirs, je pleure de peur et de tristesse et je ne rêve que d'une seule chose : sortir de ce cauchemar. Cela fait un mois que (alors là, j'improvise parce que je ne suis pas sûr de comprendre ; osé la parole ????...) personne n'a osé s'adresser la parole, parents entre eux, ou, nous les enfants entre nous. Ayant été traités de la sorte, comme des moins que rien, enfermés dans ce trou sans aucune liberté, nous nous sentons comme des chiens.
Pour savoir, s'il fait jour ou nuit, il suffit de regarder par la petite ouverture entre les barreaux, tout au-dessus de nous. C'est notre seule source de lumière. (j'ai enlevé "vitre" ... il me semble que vu les conditions que tu décrits, il ne peut y avoir de vitres....)
Heureusement que j'ai la possibilité d'écrire dans mon journal. Il me permet d' évacuer ce que je ressens en racontant tout. Il est mon plus cher ami et confident.
Pour conclure, mon quotidien est absolument terrible; de ne plus avoir de vraie vie, j'en ai presque envie de mourir ....
À priori, plus de fautes.. J'ai pris quelques libertés, ne comprenant pas toujours, j'espère avoir respecté ce que tu voulais dire
bonne soirée ☺☺☺
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