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Sagot :
Maintenant, ça faisait 2 ans que nous étions enfermés dans ce camp. Il y avait beaucoup moins de personne que le jour du départ. Cela faisait environ une heure que les gardes étaient en train d’enlever les grilles et carrelages pour nous faire sortir. Mais au bout de quelques minutes la seule issue était ouverte comme pour la première fois. Les gardes criaient en disant « suivez-nous ». Ils tenaient des armes dans la main. Ils nous conduisaient dans un nouveau train et j’étais avec mes parents. Quant à Augustine je ne savais pas où elle était passée, elle s’est peut être mélangée dans la foule. Les gardes ne nous disaient toujours pas ou ils nous ramenaient. On monta dans le train en attendant notre prochaine destination. Mon cœur battait comme lorsque j’étais dans le train des Milles, c’est à dire beaucoup. Mes parents me serraient fort les mains et me disaient des mots touchants pour me réconforter. Quatre heures plus tard, le train retentit et s’arrête. Les gardes répétaient sans cesse cette même phrase « suivez-nous ». Mes parents et toutes les autres personnes qui se trouvaient dedans comprirent que c’était la fin. On était dans le camps d’Aushwitz où se trouve plus de deux milles juifs hommes, femmes et enfants. Les enfants ne comprennent pas ce qu’il se passe mais moi oui car j’ai tout de suite reconnu la forme de visage de ma mère, celle qui la définit quand elle est sous le choc. Des hommes sans enfants commençaient à crier « à l’aide ». Il se faisait frapper par un soldat. Les gardiens nous dirigeaient vers les camps de concentration mais plus précisément ceux d’extermination. Ils nous ont séparés de nos parents, nos frères et soeurs. Je commençais à avoir une peur bleue, des maux de tête, je ne comprenais plus tellement ce qu’il se passait. Je vis mes parents se faire pousser par des soldats et qui étaient dans l’obligation de travailler. Il y avait énormément d’usines. Quant à nous, enfants, nous étions enfermés seuls dans des cellules. Je crois bien que c’était le pire jour de ma vie.
Voilà normalement c’est bon
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Actuellement, cela faisait déjà 2 ans que nous étions enfermés dans ce camp. Le nombre de personnes était énormément réduit, par rapport à celui du départ. On pouvait compter environ une bonne heure depuis que les gardes s'étaient chargés d'enlever les grilles et carrelages, dans le but de nous faire sortir.
Cependant, au bout de quelques minutes, la seule issue était ouverte comme lorsqu'elle l'était pour la première fois. Les gardes criaient de pleine voix: << Suivez nous >>. De plus, ils tenaient des armes dans la main. Ils nous conduisaient dans un nouveau train, j'étais avec mes parents. Quant à Augustine, je l'avais perdue de vue... J'ignore où elle était passée. Elle a sûrement dû se mélanger dans la foule. Les gardes ne nous disaient toujours pas où ils nous emmenaient. Nous montions dans le train en attendant notre prochaine destination.
Mon cœur battait à tout rompre, comme lorsque j'étais dans le train des Milles c'est-à-dire énormément. Mes parents me serraient fort les mains et me chuchotaient des mots touchants pour me réconforter. Quatre heure plus tard, le train retentit et s'arrêtait. Les gardes criaient toujours: << suivez nous>>. Tous les autres parents, ainsi que les miens, comprirent que c'était la fin.
En effet, nous étions dans le camp d'Auschwitz où se trouvaient plus de deux milles juifs, hommes, femmes et enfants. Les enfants, eux, ne comprenaient pas ce qu'il se déroulait. Néanmoins, je me doutais de la tournure des événements, car lorsque j'avais aperçue l'expression de choc sur le visage de ma mère, j'ai tout de suite su que mon doute était devenu une certitude: la fin était proche...
Des hommes sans enfants commençaient à crier << on va tous mourir >>, << à l'aide ! >>. Ils furent interrompus par les coups violents d'un soldat. Par la suite, les gardiens nous dirigeaient dans le camp qui était plutôt le camp d'extermination et de concentration.
Tout est arrivé très vite... En un instant, ils ont nous séparés de nos parents. Je commençais à ressentir une peur bleue, un mal à la tête mais surtout un mal être terrifiant... Mais qu'allaient-ils faire de nous ? Je ne comprenais plus vraiment ce qu'il se passait...
Ma peur s'accuentua en apercevant mes parents se faire pousser désespérement par des soldats, tout en leurs ordonnant de travailler. Il y avaient pleins d'usines... Quant à nous les enfants, nous étions enfermés dans des cellules, submergés de solitude.
C'est l'un des plus horribles, des plus misérables, des plus tristes jours que j'aurais vécu, mais certainement le pire de toute mon existence...
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