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Bonjour pouvez vous me dire si ce que j'ai fais, c'est un discours argumentatif ? pouvez vous me donner des conseils svp et m'aider pour la conclusion ? MERCI d'avance :)




Tout d'abord, je tiens à dire que les violences conjugales concernent toutes les catégories sociales, toutes les nationalité, tous les niveaux d'éducation, tous les métiers... Il ne faut pas être pauvre ou riche, médecin ou instituteurs, pour être victime de violences conjugales ou au contraire être le bourreau. Récemment la série " The Big Little Lies " a vu le jour, elle montre bien le fait que toutes sortes de personnes peut connaître des violences conjugales au sein d'un couple. Dans beaucoup de pays, les femmes sont soumises à l'homme et sont maltraitées voire tuées par ce dernier si elles désobéissent. Elles appartiennent à l'homme mais cela doit changer ! Personne n'appartient à personne, nous ne sommes pas des objets, les femmes ne doivent pas être considérées comme des objets, qui ne sont là que pour leur plaisir personnel, il faut que ça cesse ! Peut-on laisser des femmes subir des violences ? La question ne se pose même pas car vous la connaissez toutes. Nul ne mérite cela. Aucun être vivant ne doit subir de violences. Ensuite, sachez que deux tiers des victimes qui déposent plainte indiquent que leur partenaire était sous l'influence de l'alcool. Un taux d'alcool élevé et une consommation de drogues, rendent la violence plus probable et plus agressive, mais en aucun cas ils ne constituent une excuse à la violence. Dans ces cas là, pourquoi ne pas consommer d'alcool avec modération ? De la même manière qu'une journée difficile ou qu'une période de stress. Rien, absolument rien ne justifie la violence conjugale. Les violences conjugales peuvent être physiques, sexuelles ( par exemple, à travers le viol conjugal qui est une des principales violences sexuelles dont les femmes sont victimes, c'est un rapport sexuel imposé à quelqu'un par la violence, obtenu par la contrainte, qui constitue pénalement un crime ). Les violences peuvent être verbales (injures) et psychologiques. Les violences physiques sont les plus visibles même si les victimes essaient tant bien que mal de les cacher. La violence faite aux femmes est contraire aux droits de l’Homme. Toutes ces formes de violences sont une atteinte aux droits fondamentaux des femmes. Souvent, ces victimes sont sous l'emprise d'un pervers narcissique, qui les contrôle tantôt par la menace, la manipulation et la dévalorisation, tantôt par une effusion amoureuse et des "je t'aime" à sans limite. Il peut donc être très difficile de quitter leur bourreau. Si elles veulent à tout prix que les violences s'arrêtent, elles ne sont pas toujours prêtes à envisager la fin de leur relation. Cela peut prendre beaucoup de temps pour une femme de parvenir à se considérer comme une victime, et ça n'a rien à voir avec un manque de force psychologique.

Toutes ces violences doivent être puni par la justice et les bourreaux doivent payer pour toutes les souffrances qu'ils font endurer car ces souffrances créent des soucis de santé et un mal être intérieur chez les victimes qui sont détruites, qui ont peur, qui ont honte, qui s'isolent, qui peuvent avoir des séquelles physiques, qui ne veulent pas en parler pour éviter les représailles, qui n'arrivent plus à se reconstruire ni à oublier... C'est donc normal que le bourreau aille en prison : il a détruit la vie de la victime, que ce soit physiquement ou moralement. Beaucoup d'entre elles sont mêmes décédés. Imaginez un membre de votre famille qui est décédé sous les coups de son conjoint, ou imaginez vous être victime de violences, vous auriez voulu que le bourreau paie ? La réponse est évidente vous auriez voulu qu'il souffre comme vous ou un membre de votre famille avaient souffert !


Sagot :

Réponse : Ton discours et pertinent

Explications :

Mais tu devrais appuyer tes arguments, par exemple, en disant qu'une femme  par jour meurt de violence conjugale en France. Citer aussi tes textes de lois.

Pour ta conclusion, reprends sobrement ton idée générale, c'est à dire la femme, les violences qu'elles peut subir de par son genre, et les peines encouru par son bourreau.