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Sagot :
Je ne connais pas la teneur des documents que tu as trouvés et il est donc difficile d'en parler ici.
Je peux en revanche articuler une réflexion préliminaire dans laquelle tu pourras peut-être insérer ce que tu as trouvé.
Quels impacts ont les émotions sur le monde du travail ?
Je pense que la question implique une triple réflexion
1) impact des émotions sur le monde du travail, en particulier l'entreprise
-émotions positives : la tenue en compte d'impératifs familiaux par ex, la reconnaissance dans le travail, la reconnaissance salariale, la gestion des conflits bien menée sont autant d'éléments sources de confort dans le travail avec une augmentation de la productivité corollaire et une augmentation de la motivation.
-émotions négatives : un mauvais management, des contrôles et des pressions intenses, des directives mal transmises, un manque de reconnaissance, une menace de perte d'emploi sont autant d'éléments stressants qui impactent la productivité , la motivation, la santé morale voire physique du travailleur et sont souvent cause d'absentéisme.
études sociologiques à l'appui
2) réalités du monde du travail
Une volonté uniforme de faire augmenter la productivité en jugulant les coûts pousse de manière généralisée à négliger l'aspect humain du travail pour ne plus considérer la fonction. Ce n'est pas pour rien que le concept de burn-out a fait son apparition dans les années 2000 : les fonctions s'alourdissent en même temps que les gratifications s'amenuisent. (voir si tu as des articles qui traitent ce cette question)
3) responsabilité de l'individu dans la gestion de ses émotions.
Afin de faire face à cette évolution du monde du travail qui n'est plus synonyme de bonheur, l'individu doit apprendre à gérer ses émotions:
-en investissant d'autres lieux de vie sociale où il pourra s'épanouir
-en canalisant ses émotions négatives par la pratique d'un sport, par exemple.
-en apprenant à se connaître mieux et faire la part des choses.
C'est sa responsabilité personnelle et sociale qu'il engage dans ces différentes démarches; l'entreprise en est indirectement bénéficiaire.
Conclusion
Ce sont des études sociologiques approfondies et menées sur un certain laps de temps qui permettent d'entrevoir une réponse quantifiée à la question; le choix des outils de mesure (absentéisme/nombre de jours travaillé?, maladie? ) étant en soi difficiles à choisir et appréhender.
En revanche, on peut intuitivement répondre que les émotions positives au travail sont corrélées avec une augmentation de la productivité et une diminution de l'absentéisme
tandis que l'on observe globalement la relation inverse dans le cas d'émotions négatives.
Le monde du travail est ainsi organisé aujourd'hui que ses contraintes négligent les aspects humains et concourent précisément à l'inverse de l'objectif recherché.
Je peux en revanche articuler une réflexion préliminaire dans laquelle tu pourras peut-être insérer ce que tu as trouvé.
Quels impacts ont les émotions sur le monde du travail ?
Je pense que la question implique une triple réflexion
1) impact des émotions sur le monde du travail, en particulier l'entreprise
-émotions positives : la tenue en compte d'impératifs familiaux par ex, la reconnaissance dans le travail, la reconnaissance salariale, la gestion des conflits bien menée sont autant d'éléments sources de confort dans le travail avec une augmentation de la productivité corollaire et une augmentation de la motivation.
-émotions négatives : un mauvais management, des contrôles et des pressions intenses, des directives mal transmises, un manque de reconnaissance, une menace de perte d'emploi sont autant d'éléments stressants qui impactent la productivité , la motivation, la santé morale voire physique du travailleur et sont souvent cause d'absentéisme.
études sociologiques à l'appui
2) réalités du monde du travail
Une volonté uniforme de faire augmenter la productivité en jugulant les coûts pousse de manière généralisée à négliger l'aspect humain du travail pour ne plus considérer la fonction. Ce n'est pas pour rien que le concept de burn-out a fait son apparition dans les années 2000 : les fonctions s'alourdissent en même temps que les gratifications s'amenuisent. (voir si tu as des articles qui traitent ce cette question)
3) responsabilité de l'individu dans la gestion de ses émotions.
Afin de faire face à cette évolution du monde du travail qui n'est plus synonyme de bonheur, l'individu doit apprendre à gérer ses émotions:
-en investissant d'autres lieux de vie sociale où il pourra s'épanouir
-en canalisant ses émotions négatives par la pratique d'un sport, par exemple.
-en apprenant à se connaître mieux et faire la part des choses.
C'est sa responsabilité personnelle et sociale qu'il engage dans ces différentes démarches; l'entreprise en est indirectement bénéficiaire.
Conclusion
Ce sont des études sociologiques approfondies et menées sur un certain laps de temps qui permettent d'entrevoir une réponse quantifiée à la question; le choix des outils de mesure (absentéisme/nombre de jours travaillé?, maladie? ) étant en soi difficiles à choisir et appréhender.
En revanche, on peut intuitivement répondre que les émotions positives au travail sont corrélées avec une augmentation de la productivité et une diminution de l'absentéisme
tandis que l'on observe globalement la relation inverse dans le cas d'émotions négatives.
Le monde du travail est ainsi organisé aujourd'hui que ses contraintes négligent les aspects humains et concourent précisément à l'inverse de l'objectif recherché.
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