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Sagot :
1) Voltaire nous plonge dans l'univers du conte car il décrit la scène comme un univers fascinant et féérique.
L'auteur donne une description magnifique du lieu, comme s'il
s'agissait d'un rêve : "ornés de milles colonnes", "supériorié
prodigieuse",... Le lecteur est plongé dans la scène en ayant l'impression de lire un des contes des Milles et Une Nuits.
2) Hyperbole = figure de style qui tend à exagérer la description.
Il y a de nombreuses hyperboles dans ce chapitre : "Le portail était de deux cent vingt pieds de haut et de cent de large", "un tissu de duvet de colibri", "les marchés ornés de mille colonnes ... une espèce de pierreries qui répandaient une odeur semblable à celle du gérofle et de la cannelle". Je te donne juste quelques exemples.
Ici, tu peux voir que Voltaire joue sur la surenchère des détails féérique, tout est exagéré. Ces hyperboles font partie de l'univers du conte comme on l'a vu dans la question 1) ==> cela donne une impression de fausseté, comme si ce monde trop parfait n'était qu'un rêve.
3) "Cacambo demanda à un grand officier comment il fallait s’y prendre pour saluer Sa Majesté ; si on se jetait à genoux ou ventre à terre ; si on mettait les mains sur la tête ou sur le derrière ; si on léchait la poussière de la salle ".
Ce passage, presque comique, fait ressortir l'idée qu'ont Candide et Cacambo des règles de salutations qu'il faut observer lorsqu'on est présenté à un roi occidental au XVIIIe siècle.. Pour eux, il faut se soumettre littéralement devant un roi or on leur répond que dans l'eldorado, il convient simplement "d’embrasser le roi et de le baiser des deux côtés".
Voltaire fait une critique des monarchies absolues de son époque. Ici le roi est proche du peuple tandis qu'en Occident, le monarque se considère comme le père du peuple qu'il ne voit pourtant jamais, il est supérieur à tous le monde.
4) Voltaire nous montre une société utopique : il n'y a pas de prison, ni de parlement, ni de cour de justice car cela n'est pas utile dans l'Eldorado. Les habitant de ce monde ne connaissent pas le crime, la délinquance et n'ont pas besoin de parlement car les décisions sont prises dans un consensus et tout le monde est d'accord avec tout le monde. Nul besoin de polémiquer et d'argumenter dans cette société idéale. Dans ce chapitre, Voltaire montre sa vision d'une société parfaite telle que les philosophes des Lumières l'imaginent : un monde plus juste, plus égalitaire et plus moral.
2) Hyperbole = figure de style qui tend à exagérer la description.
Il y a de nombreuses hyperboles dans ce chapitre : "Le portail était de deux cent vingt pieds de haut et de cent de large", "un tissu de duvet de colibri", "les marchés ornés de mille colonnes ... une espèce de pierreries qui répandaient une odeur semblable à celle du gérofle et de la cannelle". Je te donne juste quelques exemples.
Ici, tu peux voir que Voltaire joue sur la surenchère des détails féérique, tout est exagéré. Ces hyperboles font partie de l'univers du conte comme on l'a vu dans la question 1) ==> cela donne une impression de fausseté, comme si ce monde trop parfait n'était qu'un rêve.
3) "Cacambo demanda à un grand officier comment il fallait s’y prendre pour saluer Sa Majesté ; si on se jetait à genoux ou ventre à terre ; si on mettait les mains sur la tête ou sur le derrière ; si on léchait la poussière de la salle ".
Ce passage, presque comique, fait ressortir l'idée qu'ont Candide et Cacambo des règles de salutations qu'il faut observer lorsqu'on est présenté à un roi occidental au XVIIIe siècle.. Pour eux, il faut se soumettre littéralement devant un roi or on leur répond que dans l'eldorado, il convient simplement "d’embrasser le roi et de le baiser des deux côtés".
Voltaire fait une critique des monarchies absolues de son époque. Ici le roi est proche du peuple tandis qu'en Occident, le monarque se considère comme le père du peuple qu'il ne voit pourtant jamais, il est supérieur à tous le monde.
4) Voltaire nous montre une société utopique : il n'y a pas de prison, ni de parlement, ni de cour de justice car cela n'est pas utile dans l'Eldorado. Les habitant de ce monde ne connaissent pas le crime, la délinquance et n'ont pas besoin de parlement car les décisions sont prises dans un consensus et tout le monde est d'accord avec tout le monde. Nul besoin de polémiquer et d'argumenter dans cette société idéale. Dans ce chapitre, Voltaire montre sa vision d'une société parfaite telle que les philosophes des Lumières l'imaginent : un monde plus juste, plus égalitaire et plus moral.
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