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Sagot :
Tu t'est cassé la margoulette
Tu t'est cassé la margoulette,
En dansant sur un air de fête,
Tu avait peut être trop bu
Nous on riait, on en pouvait plus
Tu es tombé les quatre fers en l'air,
Tu n'avait pas l'air bien fier,
Puis tu t'est endormis
Il a fallu te mettre au lit
Tu as ronflé toute la nuit
Puis a ton réveil mal de tête ha oui
Tu t'est cassé la margoulette
La prochaîne fait fais attention
L'alcool oui mais avec modération
Faire la fête entre amis
Sans exagération car risque d'ennuis
Et hospitalisation.
Le CHa-CHa-CHa du CHow-CHow Le chat châtré du riche cheikh, chiné en Chine, que ça se sache, un achat en chèque qui chiffre. choque la chèvre lâche et chipe un chabichou. Le chef chauve hoche, fâché, pêche et chuchote sur la chaise dans le chais où un chiot chie dans la chaux entre les choux, juché à gauche sur la ruche entre roche et bûche, échue d'une souche à la hache. Une mouche louche touche sa bouche, lèche sa chair rêche, chute et se cache dans sa poche où elle se couche. Quelle cruche cette chochotte, choir comme un chiffe est un échec huche le cocher fauché du duché sous sa douche chaude. Il se chausse, ne chôme pas, et achète dans une échoppe, échelle, bêche et pioche, s'acharne, s'échine et échoue, déchire son chèche et sa chaîne, et achève chaque chose en chiure et en déchet sur la chape où le char chauffe. Il sèche sa mèche croche et choie le chouchou du shah, cher chow-chow chic, chien de chasse cherchant la chouette chevêche qui chuinte et chante dans le chêne pour la choper. Quel chichi, ça triche, c'est un choc, le choix de ce show de cha-cha-cha sans shit, sans quiche et sans kirsch est à chialer.
Le DanDy DécaDent Duc De Dax Dédé le dandy drogué se dandine avec dédain sur la digue où de drôles de dindes dodues et de dindons dingues dodelinent à dada sur un dais. Ce dandin digne doué doute et dit, ding dong, dont deux do dièse et donne douze diodes au deux druides sans dents en deuil de leurs douces dames décédées, dévidées par le dioxyde. C'est dur comme une dartre, c'est la dèche et la diète, dit ce dadais, en dette de dés à cette date, qui a dans la durée la dalle de dattes, et darde sa dague de duel sur le dos d'un daim dopé, don de dieu, en diadème sur le dôme doré, au grand dam dudit décadent duc de Dax. J'en déduit c'est de la daube, dit-il, la der des der. Il dénoue, dresse et dédie un drap à droite sur la dune, draine, drisse et droppe une drague drossée, dicte, dénie le droit et dose donc la dîme due, dine et danse avec la duègne du duché qu'il dupe et dénude de son dense et dru duvet.
Chez les cassos Chez les cassos personnes ne bossent
Même pas le clébard, ce molosse aussi con que féroce
Pour eux médecine gratos, écran plat, satelite, dernier matos
La mère au langage fleurie, grasse et grosse blonde tatouée, décolorée un peu fausse
Qui ne connait ni gants, ni brosses et le père en marcel taché, un colosse
Cerveau aussi creux qu'une cosse, chaque jour, il creuse sa fosse
Fumant et picolant de la bibine frelatée venant d'Ecosse parfumé Hugo Boss
Vivant de magouilles et négoces et à tout le monde, il cherche des crosses
Il s'habille et se chausse dans des marques au prix à la hausse
Et les pauvres gosses n'ont rien même pas un menthos
Ah si des chips et rogne un os avec du coca et de la sauce
Pour eux, la vie est rosse pas de vacances en Beauce
Ni même Tyrosse et encore moins a Mikonos
Ils n'aiment pas les Nikos et autres empapaoutés de Papadopoulos
La magouille est précoce, ils piquent dans des carosses
Planquent leurs écus dans des thermos, le futur pour eux s'annonce atroce
En dansant sur un air de fête,
Tu avait peut être trop bu
Nous on riait, on en pouvait plus
Tu es tombé les quatre fers en l'air,
Tu n'avait pas l'air bien fier,
Puis tu t'est endormis
Il a fallu te mettre au lit
Tu as ronflé toute la nuit
Puis a ton réveil mal de tête ha oui
Tu t'est cassé la margoulette
La prochaîne fait fais attention
L'alcool oui mais avec modération
Faire la fête entre amis
Sans exagération car risque d'ennuis
Et hospitalisation.
Le CHa-CHa-CHa du CHow-CHow Le chat châtré du riche cheikh, chiné en Chine, que ça se sache, un achat en chèque qui chiffre. choque la chèvre lâche et chipe un chabichou. Le chef chauve hoche, fâché, pêche et chuchote sur la chaise dans le chais où un chiot chie dans la chaux entre les choux, juché à gauche sur la ruche entre roche et bûche, échue d'une souche à la hache. Une mouche louche touche sa bouche, lèche sa chair rêche, chute et se cache dans sa poche où elle se couche. Quelle cruche cette chochotte, choir comme un chiffe est un échec huche le cocher fauché du duché sous sa douche chaude. Il se chausse, ne chôme pas, et achète dans une échoppe, échelle, bêche et pioche, s'acharne, s'échine et échoue, déchire son chèche et sa chaîne, et achève chaque chose en chiure et en déchet sur la chape où le char chauffe. Il sèche sa mèche croche et choie le chouchou du shah, cher chow-chow chic, chien de chasse cherchant la chouette chevêche qui chuinte et chante dans le chêne pour la choper. Quel chichi, ça triche, c'est un choc, le choix de ce show de cha-cha-cha sans shit, sans quiche et sans kirsch est à chialer.
Le DanDy DécaDent Duc De Dax Dédé le dandy drogué se dandine avec dédain sur la digue où de drôles de dindes dodues et de dindons dingues dodelinent à dada sur un dais. Ce dandin digne doué doute et dit, ding dong, dont deux do dièse et donne douze diodes au deux druides sans dents en deuil de leurs douces dames décédées, dévidées par le dioxyde. C'est dur comme une dartre, c'est la dèche et la diète, dit ce dadais, en dette de dés à cette date, qui a dans la durée la dalle de dattes, et darde sa dague de duel sur le dos d'un daim dopé, don de dieu, en diadème sur le dôme doré, au grand dam dudit décadent duc de Dax. J'en déduit c'est de la daube, dit-il, la der des der. Il dénoue, dresse et dédie un drap à droite sur la dune, draine, drisse et droppe une drague drossée, dicte, dénie le droit et dose donc la dîme due, dine et danse avec la duègne du duché qu'il dupe et dénude de son dense et dru duvet.
Chez les cassos Chez les cassos personnes ne bossent
Même pas le clébard, ce molosse aussi con que féroce
Pour eux médecine gratos, écran plat, satelite, dernier matos
La mère au langage fleurie, grasse et grosse blonde tatouée, décolorée un peu fausse
Qui ne connait ni gants, ni brosses et le père en marcel taché, un colosse
Cerveau aussi creux qu'une cosse, chaque jour, il creuse sa fosse
Fumant et picolant de la bibine frelatée venant d'Ecosse parfumé Hugo Boss
Vivant de magouilles et négoces et à tout le monde, il cherche des crosses
Il s'habille et se chausse dans des marques au prix à la hausse
Et les pauvres gosses n'ont rien même pas un menthos
Ah si des chips et rogne un os avec du coca et de la sauce
Pour eux, la vie est rosse pas de vacances en Beauce
Ni même Tyrosse et encore moins a Mikonos
Ils n'aiment pas les Nikos et autres empapaoutés de Papadopoulos
La magouille est précoce, ils piquent dans des carosses
Planquent leurs écus dans des thermos, le futur pour eux s'annonce atroce
Marie était jolie
Elle aimait rire et écrire
C'était une fleur, sûrement une marguerite.
Elle était si belle et si jolie
C'est ma sœur chérie,
Elle est parti, elle travaille a la Mairie
Jean, un peu grand et méchant
Malhonnête et encore moins patient
Il acheta une pomme chez le marchant, qui lui couru après en criant :" eh merci c'est pour les papi?"
Rose c'est pour les fille !
C'est jolie,
Mais ça fait un peu trop fille fille,
Fifi ma voisine aime lire c'est récit fantastique.
Je suis fatigué
Fatigué de parler
Fatigué de m'ennuyer
Fatigué de le regarder
Fatigué de crier
Fatigué de pleuré
Fatiguer de penser.
Les rideaux bleu
Comme le soleil qui prends feu
Qui danse autour d'eux
Quand tu le voix fait un veux
Il te tiendra chaud quand tu veux
Oh que c'est chaud
Viens on va dans l'eau !
Huuuum c'est bon, et si on se cacher derrière c'est d'eau ?
Il fait tellement beau que j'ai peur de me brûler la peaux.
Mon imagination.
Le beau sapin vert,
qui se transforme en voiture diesel.
Les pommes de pain,
Qui font des bombes a humain
Les branches d'arbre,
Qui font mon sabre.
Pousse pousse.
Aller haricots je veux te voir,
Te voir sortir de ton nid et boire,
Boir l'eau de la chaleur, de la lumière pour voir ce qui se passe derrière le comptoir.
Elle aimait rire et écrire
C'était une fleur, sûrement une marguerite.
Elle était si belle et si jolie
C'est ma sœur chérie,
Elle est parti, elle travaille a la Mairie
Jean, un peu grand et méchant
Malhonnête et encore moins patient
Il acheta une pomme chez le marchant, qui lui couru après en criant :" eh merci c'est pour les papi?"
Rose c'est pour les fille !
C'est jolie,
Mais ça fait un peu trop fille fille,
Fifi ma voisine aime lire c'est récit fantastique.
Je suis fatigué
Fatigué de parler
Fatigué de m'ennuyer
Fatigué de le regarder
Fatigué de crier
Fatigué de pleuré
Fatiguer de penser.
Les rideaux bleu
Comme le soleil qui prends feu
Qui danse autour d'eux
Quand tu le voix fait un veux
Il te tiendra chaud quand tu veux
Oh que c'est chaud
Viens on va dans l'eau !
Huuuum c'est bon, et si on se cacher derrière c'est d'eau ?
Il fait tellement beau que j'ai peur de me brûler la peaux.
Mon imagination.
Le beau sapin vert,
qui se transforme en voiture diesel.
Les pommes de pain,
Qui font des bombes a humain
Les branches d'arbre,
Qui font mon sabre.
Pousse pousse.
Aller haricots je veux te voir,
Te voir sortir de ton nid et boire,
Boir l'eau de la chaleur, de la lumière pour voir ce qui se passe derrière le comptoir.
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