Sagot :
LE CHEVALIER :
- Je me meurs et tu me contemples ! Tu regardes le sang couler de mon ventre pour t'assurer de la victoire et la savourer. Tu as gagné par ta ferveur au combat. Mais à présent tue- moi d'un coup d'épée dans le coeur plutôt que de me torturer en me regardant mourir.
YVAIN :
-Tu te trompes. C'est aussi moi qui meurs avec toi. Je ne me considère pas comme le plus fort ni comme le plus vertueux. Après avoir été ton d'un ennemi, tu es devenu un frère d'arme dans la mort où nous nous retrouverons.
LE CHEVALIER
- Alors regarde mon ami ce que c'est que de souffrir à mort. . . tout au fond de ses tripes...
YVAIN :
Oui, je regarde, car bientôt ce sera mon tour. Regarder c'est apprendre et toute mort nous prépare à la nôtre.
Adieu !
Et il le frappe en plein coeur.
- Je me meurs et tu me contemples ! Tu regardes le sang couler de mon ventre pour t'assurer de la victoire et la savourer. Tu as gagné par ta ferveur au combat. Mais à présent tue- moi d'un coup d'épée dans le coeur plutôt que de me torturer en me regardant mourir.
YVAIN :
-Tu te trompes. C'est aussi moi qui meurs avec toi. Je ne me considère pas comme le plus fort ni comme le plus vertueux. Après avoir été ton d'un ennemi, tu es devenu un frère d'arme dans la mort où nous nous retrouverons.
LE CHEVALIER
- Alors regarde mon ami ce que c'est que de souffrir à mort. . . tout au fond de ses tripes...
YVAIN :
Oui, je regarde, car bientôt ce sera mon tour. Regarder c'est apprendre et toute mort nous prépare à la nôtre.
Adieu !
Et il le frappe en plein coeur.
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