Je vais commencer pas l'émotion;
Déjà il est sûr que je n'aurais jamais choisi ce tableau, mais je dois faire comme si, alors je dirais que j'ai choisi ce tableau un jour de grande lassitude, une partie de moi tombe de fatigue comme cet arbre . C'est pourquoi j'ai choisi un arbre à la couleur fade: marron qui est mise en valeur par le blanc .Mais , je sais que cela n'est qu'un mauvais moment à passer, car si je tombe de fatigue, une partie de moi est vivante , par ma personnalité, les forces données par les ancêtres.Que je matérialise par les racines de l'arbre blanche en opposition au marron de ma lassitude.
Au premier abord lorsque j'ai vu ce tableau, mes premières sensations ont été du dégoût, j'ai pensé exactement ces mots: "quelle horreur".j'ai pensé à la mort, une partie de l'arbre qui tombe, comme si sa peau tombait, comme si elle était arrachée.
Puis j'ai un peu plus observé j'ai vu que l'arbre avait de petites feuilles sur certaines branches et donc qu'il n'était pas mort; J'ai donc vu la vie dans cet arbre.De plus , j'ai compris que la "peau " pour ne pas dire l'écorce de l'arbre arrachée formait les racines.
Qu'elles étaient puissantes puisqu'elles dépassaient même le dessin pour descendre dans le cadre.
description de l'oeuvre:
je vois un cadre marron, un fond marron et une feuille blanche découpée sur ce fond.
Je me dis que c'est un découpage et pas une peinture. Je trouve ce tableau nu, bien que ce soit un découpage qui forme un arbre, le découpage du tronc donne les racines de l'arbre.Mais si je regarde de plus près je me dis que c'est ce que l'on veut nous faire croire mais en fait ce n'est pas cela car le haut de la racine est plus petit que le tronc lui même donc ce n'est pas un découpage du tronc .
L'arbre est au milieu de l'oeuvre bien cadré et occupe presque tout l'espace, je vois que la partie du haut à des branches et des feuilles , le bas avec le tronc semble avoir plutôt des branches mortes.
Les racines de l'arbre ressortent comme si elles étaient vu en 3 dimensions.
Voilà pour moi, à plus.
