un vendredi 1659,
Sa va bientôt faire deux mois que je suis sur l'ile. Mon dieu que la solitude me paise, jamais auparavant je n'aurai crut vivre sa un jour, mes camarades tous morts, et moi seul avec pour seul compagnon un chien. Ma vie d'avant me manque surtout que je ne sais pas quand ni comment je pourrai partir de cette maudite île ! pourquoi ho mais pourquoi ? le bon dieu ma laisser en vie mais je commence a me demander si je n'aurai pas mieux fait de périr avec mes amis. Cette île je commence a la connaitre un peut mais elle me fait peur, hier soir alors que j'allait m'endormir des grognements ce sont fait entendre, je suis allai voir mais rien. Mon dieu ou sui'je donc tomber ? Mes chèvres sauvages produisent bien du lait et leurs chair n'est pas mauvaise, mais je commence a m'en lasser a force, je pense que demain je ferai un grand tour de l'île pour voir s'il n'y aurai pas un ou deux trucs comestibles. Ce matin je me suis avanturer sur le devant de lîle a la plage et j'ai vu des traces de feu toutes fraiche. Je me demande quel sortes d'hommes et sur cette île. En ce moment même j'entend des sortes de rires mais ne voit rien, il s'agit surement de singes ces petites bestioles aussi filou qu'un renard pour nous bombarder de fruits, car oui heuresement il y a des fruits sur cette misérable île ! nous veron ce que le destin nous reserve.
