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Sagot :
«-Mon enfant,ce casque appartenait à ton grand-père,mon mari.Approche,je vais te racontée l'histoire de ton aïeul....» A toi d'écrire la suite♥
Mon Dieu Hadrien mais que fais tu avec ce casque ?
Je l'ai trouvé dans le grenier grand mère mais pourquoi pleures tu ? J'ai fait quelque chose de mal ?
Elle essuie ses larmes et prend une profonde inspiration. Tout en s'asseyant dans son fauteuil.
Non tu as rien fait de mal Hadrien, rassures toi. Viens t'asseoir prés de moi, je vais te raconter l'histoire de ton grand père je crois qu'il est temps que tu la connaisse....
Hadrien troublé s'assoit prés de sa grand mère en silence.
C'était il y'a trés longtemps, quand j'ai connu ton grand père nous étions encore des enfants, nous allions à l'école ensemble et je crois bien que nous nous sommes toujours aimé sans le savoir jusqu'a ce que nous soyons des adolescents. Ton grand père était quelqu'un de trés timide tu sais. Un jour nous fêtions la fin des vendanges et pendant le bal il m'a invité à danser c'est la toute première fois qu'il a osé m'embrasser. Comme il était beau, j'étais la jeune fille la plus heureuse du monde, nos parents ont été tout de suite d'accord pour que nous nous marions. Aprés un an et de merveilleuse fiancailles le mariage fût fait, nous étions en 1937 et j'allais alors vivre les deux plus belles années de ma vie. Ton grand père etait l'homme le plus merveilleux que je n'ai jamais connu, gentil, attentionné j'étais heureuse. Rapidement ton oncle Gérard est arrivé, nous étions comblés de bonheur. Quelques temps aprés des rumeurs de guerre commençait à circuler, mais nous étions tellement heureux que nous n'y pretions aucune attention.
Puis j'appris que j'attendais à nouveau un bébe, je me rapelle la joie de ton grand père Jean quand je lui annonçait la nouvelle. Malheureusement 2 mois aprés il reçu ses papiers militaires pour lui dire que la France avait besoin de lui et qu'il devait se rendre au front.
J'étais effondrée, mon Jean allait partir, c'était la première fois de notre vie que nous allions etre séparés.
Il est donc parti, en me promettant qu'il reviendrait bientot. Puis ta maman est née, je décidais de l'appeller Jeanne cela me raprocherait de son papa au moins.
Exceptionellement on l'autorisa a me rendre une visite de deux jours pour voir le bébé.Quel bonheur. Puis il est reparti au combat.
Régulièrement je recevais des lettres, il me racontait les combats, le froid, les tranchées.
Il me parlait souvent d'un camarade avec qui il s'était particulièrement lié d'amitié un certain Joseph. Il me disait que grace à cet ami cela parraissait moins dur car il habitait pas trés loin de chez nous et au moins il pouvait parler du pays.
Ces lettres étaient pleines d'amour et de tendresse.
Un jour j'ai commencé à ne plus avoir de nouvelles, j'étais folle d'inquiétude, mais la fin de la guerre était proche, La Corse avait été libérée, et petit à petit les autres regions de France devenaient libres.
Puis ce fut le débarquement de normandie, La france était enfin libre, j'étais soulagée, même si je n'avais plus de nouvelles mon Jean allait revenir.
J'ai attendu encore deux mois, les hommes revenaient peu à peu au village. Gérard avait maintenant presque 6 ans et ta maman allait sur ses quatre ans.
Un jour un monsieur a sonné au portail, c'était un militaire il avait un gros paquet dans les bras.
Il se présenta il me dit qu'il s'appellait Joseph et qu'il était l'ami de Jean.
Je le fis tout de suite entré ton grand père m'avait tellement parlé de lui.
Je lui demandais tout de suite des nouvelles de Jean, il avala sa salive et des larmes commencèrent a apparaitre au bord de ses yeux.
Jean était mort, tué par une balle en pleine poitrine,Le gros paquet contenait toutes ses affaires il était venu me les rendre.
Joseph avait tout fait pour essayer de le sauver, mais hélas il ne put rien faire. Avant de mourrir il lui avait fait prometre de venir me voir et de m'aider si j'avais besoin d'aide.
Sa maison avait était completement détruite et ses parents étaient morts,
Joseph se retrouvait donc sans famille et sans abri. En souvenir de mon bon jean je lui offrit l'hospitalité. IL m'aida aux travaux des champs, et de la ferme, il me parlait souvent de Jean.
Puis deux années sont passées, une certaine complicité s'est installée et un jour il me demanda de l'épouser, J'etais veuve, il n'avait jamais été marié et n'avait plus de famille. Les enfants avaient besoin d'un homme à la maison je mis beaucoup de temps a accepter mais finalement je dis oui.
Il devint donc mon mari, et le grand père que tu connais aujourd'hui.
Je n'ai plus jamais parlé de jean cela me faisiat trop mal Ton oncle et ta maman appelait Joseph papa et il à été un vrai papa pour eux.
Je l'ai trouvé dans le grenier grand mère mais pourquoi pleures tu ? J'ai fait quelque chose de mal ?
Elle essuie ses larmes et prend une profonde inspiration. Tout en s'asseyant dans son fauteuil.
Non tu as rien fait de mal Hadrien, rassures toi. Viens t'asseoir prés de moi, je vais te raconter l'histoire de ton grand père je crois qu'il est temps que tu la connaisse....
Hadrien troublé s'assoit prés de sa grand mère en silence.
C'était il y'a trés longtemps, quand j'ai connu ton grand père nous étions encore des enfants, nous allions à l'école ensemble et je crois bien que nous nous sommes toujours aimé sans le savoir jusqu'a ce que nous soyons des adolescents. Ton grand père était quelqu'un de trés timide tu sais. Un jour nous fêtions la fin des vendanges et pendant le bal il m'a invité à danser c'est la toute première fois qu'il a osé m'embrasser. Comme il était beau, j'étais la jeune fille la plus heureuse du monde, nos parents ont été tout de suite d'accord pour que nous nous marions. Aprés un an et de merveilleuse fiancailles le mariage fût fait, nous étions en 1937 et j'allais alors vivre les deux plus belles années de ma vie. Ton grand père etait l'homme le plus merveilleux que je n'ai jamais connu, gentil, attentionné j'étais heureuse. Rapidement ton oncle Gérard est arrivé, nous étions comblés de bonheur. Quelques temps aprés des rumeurs de guerre commençait à circuler, mais nous étions tellement heureux que nous n'y pretions aucune attention.
Puis j'appris que j'attendais à nouveau un bébe, je me rapelle la joie de ton grand père Jean quand je lui annonçait la nouvelle. Malheureusement 2 mois aprés il reçu ses papiers militaires pour lui dire que la France avait besoin de lui et qu'il devait se rendre au front.
J'étais effondrée, mon Jean allait partir, c'était la première fois de notre vie que nous allions etre séparés.
Il est donc parti, en me promettant qu'il reviendrait bientot. Puis ta maman est née, je décidais de l'appeller Jeanne cela me raprocherait de son papa au moins.
Exceptionellement on l'autorisa a me rendre une visite de deux jours pour voir le bébé.Quel bonheur. Puis il est reparti au combat.
Régulièrement je recevais des lettres, il me racontait les combats, le froid, les tranchées.
Il me parlait souvent d'un camarade avec qui il s'était particulièrement lié d'amitié un certain Joseph. Il me disait que grace à cet ami cela parraissait moins dur car il habitait pas trés loin de chez nous et au moins il pouvait parler du pays.
Ces lettres étaient pleines d'amour et de tendresse.
Un jour j'ai commencé à ne plus avoir de nouvelles, j'étais folle d'inquiétude, mais la fin de la guerre était proche, La Corse avait été libérée, et petit à petit les autres regions de France devenaient libres.
Puis ce fut le débarquement de normandie, La france était enfin libre, j'étais soulagée, même si je n'avais plus de nouvelles mon Jean allait revenir.
J'ai attendu encore deux mois, les hommes revenaient peu à peu au village. Gérard avait maintenant presque 6 ans et ta maman allait sur ses quatre ans.
Un jour un monsieur a sonné au portail, c'était un militaire il avait un gros paquet dans les bras.
Il se présenta il me dit qu'il s'appellait Joseph et qu'il était l'ami de Jean.
Je le fis tout de suite entré ton grand père m'avait tellement parlé de lui.
Je lui demandais tout de suite des nouvelles de Jean, il avala sa salive et des larmes commencèrent a apparaitre au bord de ses yeux.
Jean était mort, tué par une balle en pleine poitrine,Le gros paquet contenait toutes ses affaires il était venu me les rendre.
Joseph avait tout fait pour essayer de le sauver, mais hélas il ne put rien faire. Avant de mourrir il lui avait fait prometre de venir me voir et de m'aider si j'avais besoin d'aide.
Sa maison avait était completement détruite et ses parents étaient morts,
Joseph se retrouvait donc sans famille et sans abri. En souvenir de mon bon jean je lui offrit l'hospitalité. IL m'aida aux travaux des champs, et de la ferme, il me parlait souvent de Jean.
Puis deux années sont passées, une certaine complicité s'est installée et un jour il me demanda de l'épouser, J'etais veuve, il n'avait jamais été marié et n'avait plus de famille. Les enfants avaient besoin d'un homme à la maison je mis beaucoup de temps a accepter mais finalement je dis oui.
Il devint donc mon mari, et le grand père que tu connais aujourd'hui.
Je n'ai plus jamais parlé de jean cela me faisiat trop mal Ton oncle et ta maman appelait Joseph papa et il à été un vrai papa pour eux.
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