Puis, c’est la tourelle carrée ou râle la pompe d’épuisement, qui tombe sur
la face, ainsi qu’un homme fauché par un boulet. Et je vois alors une effrayante
chose, je vois la machine, disloquée sur son massif, les membres écartelées, lutter
contre la mort: elle marche, elle détend sa bielle, son genou de géante, comme
pour se lever; mais elle expire, broyée, engloutie. Seule, la haute cheminée de trente mètres reste debout, secouée, pareille à un mât dans l’ouragan. Je crois
qu’elle va s’émietter et voler en poudre, lorsque, tout d’un coup, elle s’enfonce
d’un bloc, bue par la terre, fondue ainsi qu’un cierge colossal; et rien ne dépasse,
pas même la pointe du paratonnerre
Voilà ;)